Une comparaison entre deux récifs de coraux, l’un situé assez loin des agglomérations, l’autre dans la proximité immédiate de la ville d’Eilat connaissaient un un état de santé très différent : les plus éloignés étant en bien meilleure santé que ceux situés près de la ville. C’est grâce à des recherches conjointes de scientifiques de plusieurs universités que ce constat a pu être établi.

Les coraux contribuent aux industries de la pêche et du tourisme, soutiennent les moyens de subsistance de millions de personnes grâce à des emplois, aident les scientifiques à développer des médicaments pour le traitement des cancers et de l’arthrite et soutiennent 25 % de la vie marine. L’océan a absorbé 29% des émissions excédentaires de dioxyde de carbone et les récifs coralliens en ont absorbé la majeure partie, jouant un rôle important dans l’élimination du dioxyde de carbone de notre atmosphère.

Mais les coraux sont menacés par la pollution, le changement climatique et d’autres impacts humains et environnementaux. Et le réchauffement climatique, l’urbanisation accélérée des zones côtières et le blanchissement des coraux – entre autres menaces – provoquent le déclin et l’extinction des récifs coralliens du monde.

Des scientifiques de quatre grandes universités israéliennes ont trouvé un moyen innovant de combiner technologie et science pour aider à préserver les récifs coralliens. Dans un projet de recherche conjoint, les chercheurs du Technion – Institut israélien de technologie, de l’Université Bar Ilan, de l’Université de Tel Aviv et de l’Université de Haïfa ont développé une nouvelle méthode d’impression 3D basée sur la structure naturelle des récifs coralliens au large de la ville côtière méridionale de Eilat.

Ces croaux sont la composition de plusieurs savoir-faire : la technologie 3D, qui comprend l’impression 3D, ainsi que l’imagerie et la modélisation 3D. Et puis vous avez le genre d’aspect moléculaire et de techniques moléculaires, qui ne sont pas très anciennes, c’est une technologie récente qui peut être utilisée pour simplement prélever un échantillon de l’environnement, comme de l’eau et des structures et être capable de comprendre exactement ce se développe ou ce qui habite les structures utilisant l’ADN environnemental. Ces composants ont été combinés dans ce que nous appelons une interface 3D, qui n’est en fait qu’une plate-forme ou un algorithme de ces différentes technologies.

RadioJ.

Jean-François Strouf

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