Marco Rubio salue « le leadership du Maroc qui contribue à un avenir meilleur pour les Israéliens et les Palestiniens »

Le secrétaire d’Etat américain a rencontré mardi son homologue marocain, Nasser Bourita, auprès duquel il a réitéré la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara

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Le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio
Le secrétaire d’Etat américain, Marco RubioKevin Dietsch/Getty Images/AFP

Le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, a reçu mardi à Washington le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita. Lors de leur entretien, les deux hommes ont souligné « le partenariat solide entre les États-Unis et le Maroc pour faire avancer la paix et la sécurité, sous la direction du président Trump et du roi Mohamed VI », a indiqué la porte-parole du Département d’Etat américain, Tammy Bruce.

Les deux diplomates ont évoqué la coopération entre leurs deux pays « pour faire avancer les priorités communes dans la région, y compris en s’appuyant sur les accords d’Abraham, et pour étendre la coopération commerciale afin de bénéficier à la fois aux Américains et aux Marocains ».

Marco Rubio a également réitéré la position du président Donald Trump selon laquelle le Hamas doit libérer immédiatement tous les otages détenus à Gaza, et a salué le « leadership du Maroc qui contribue à un avenir meilleur pour les Israéliens, les Palestiniens et tous les peuples de la région ».

Le secrétaire d’Etat a par ailleurs réaffirmé que les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental et « soutiennent la proposition d’autonomie sérieuse, crédible et réaliste du Maroc comme la seule base pour une solution juste et durable au différend ».

« Les États-Unis continuent de croire qu’une véritable autonomie sous la souveraineté marocaine est la seule solution réalisable ». Marco Rubio a renouvelé l’appel de Donald Trump aux parties pour qu’elles engagent des discussions sans délai, en utilisant la proposition d’autonomie du Maroc comme seul cadre, afin de négocier une solution mutuellement acceptable. Le secrétaire d’État a noté que « les États-Unis faciliteraient les progrès vers cet objectif ».

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