JOUR DE JERUSALEM. La ville sainte revendique plusieurs centaines de startups, de nombreux fonds de capital-risque, des accélérateurs. Si Tel-Aviv incarne la modernité de la « startup nation », la très croyante Jérusalem se veut le temple de la high-tech « made in Israel ».
La fièvre de la tech touche toutes les communautés, juifs orthodoxes comme Arabes israéliens. Mais elle est encore loin de parvenir à accélérer le processus d’intégration. Pour l’heure, dans la ville la plus pauvre du pays, les dividendes de la tech se font attendre.

« En 2015, Jérusalem était 37e sur la liste des 50 villes les plus innovantes du monde. Elle est déjà remontée à la 27e place en 2017. Croyez-le ou non, elle est sur le point d’entrer dans la liste des 20 villes les plus innovantes du monde ».

Fière de ses civilisations passées dans ses sous-sols, en surface, Jérusalem veut aujourd’hui à tout prix partager une autre histoire : celle du XXIe siècle et des nouvelles technologies. Longtemps, la ville « de cuivre et d’or » a d’abord attiré les secteurs du logiciel médical, de la biotechnologie et de l’imagerie.

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