La Banque de France (BdF) table sur une contraction de 8,7% du produit intérieur brut (PIB) pour 2020, contre un recul de 10,3% estimé en juin, alors que la reprise économique s’avère plus rapide que prévu grâce notamment à la résilience de la consommation domestique.

La France espère ramener le déficit à 4,9 % du PIB à la fin du quinquennat. « Dans un document attaché au budget 2021, Bercy trace pour la première fois la trajectoire de finances publiques post-coronavirus.

Le déficit atteindrait 4,9 % du PIB en 2022, avant de redescendre à 2,9 % en 2025. L’effort d’économies n’est pas attendu avant 2023. La baisse de la pression fiscale promise pour le quinquennat sera au rendez-vous ».

L’OCDE ne prévoit qu’une reprise progressive de la croissance du PIB israélien à 2,9% en 2021, après une baisse de 6% en 2020.

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