“Même les chameaux dans le désert n’en sont pas revenus. Plus surprenant qu’une femme au volant d’une voiture ou se baladant en mini-jupe dans les ruelles de la Mecque. Plus extravagant : des pilotes israéliens instruisant leurs collègues saoudiens au maniement des avions de chasse américains ou des Rafale français”, lance Éric Zemmour.
Pour le journaliste, voilà qui a “de quoi ringardiser d’un coup tous les experts en géostratégie du monde entier” et “de quoi faire enrager toutes les foules arabes en colère et tous les islamo-gauchistes parisiens”. À ses yeux, cette alliance “encore secrète” entre Israël et l’Arabie Saoudite est “déjà un secret de Polichinelle pour les chancelleries”.
Une alliance qui, selon Éric Zemmour, “a pour fondement un principe vieux comme le monde : les ennemis de mes ennemis sont mes amis”. C’est une alliance “en forme de charade : mon premier est russe, mon deuxième est iranien, mon troisième est Hezbollah, et mon tout tient dans sa main l’Irak, la Syrie et le Liban”, poursuit-il. Selon lui, c’est “une belle claque, signée Poutine, donnée aux Américains”. (https://www.lemondejuif.info)
LE PLUS. Comment devient-on pilote de Tsahal ?
Devenir pilote est un rêve pour beaucoup et pourtant, seule une poignée de soldats parvient à terminer cette longue formation qui est l’une des plus sélectives de Tsahal. Avant même leur enrôlement dans l’armée, les jeunes aspirant à devenir pilotes sont confrontés à plusieurs tests : tests psychotechniques et psychologiques, examen médical et déjà quelques simulations de vols. Les meilleurs d’entre eux seront ensuite reçus au “Gibush”, une semaine d’examens qui permettra de déterminer qui seront ceux qui rejoindront finalement la formation.

Cette formation dure 3 ans :

  • 1 an : les soldats passent les “tironout”, les classes préparatoires, comme tout autre soldat de Tsahal.

  • 6 mois : après des examens, les recrues volent chaque jour dans la section de vols à laquelle elles ont été assignées.

  • 1 an : les soldats étudient à l’université Ben Gurion afin de passer une licence (en mathématiques, économie ou encore sciences politiques).

  • 6 mois : sessions intensives de vols.

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