Pas un spécialiste historique de l’automobile, ce n’est qu’une question de temps. General Motors a été le premier groupe mondial majeur à implanter une filiale en Israël, en 2008.
Depuis, Porsche, Honda et Volvo (via la société « Drive), le géant chinois SAIC (partenaire de Volkswagen en Chine), Seat, Mercedes ou encore Skoda (mais aussi les équipementiers Bosch, Denso ou encore Harman) ont envoyé des « satellites » en Israël pour établir des connexions avec l’effervescente communauté de start-up nationale.
Aujourd’hui, plus de 500 start-up dédiées à la mobilité sont recensées dans cet endroit du monde plus souvent cité dans les médias pour la géopolitique que pour les avancées automobiles.
Pourquoi autant de partenariats et de financements sont noués entre les constructeurs automobiles majeurs et les start-ups israéliens ? La réponse est simple : la transformation de l’industrie auto, passant de la voiture à la voiture, le logiciel et les services de mobilité, requiert des compétences spécifiques, que les grands constructeurs n’ont pas toujours.
Et Stephanie Vox, la patronne de Konnect (l’antenne de recherche et d’innovation de Volkswagen à Tel-Aviv), le résumait très bien auprès du Jerusalem Post : les « bonnes compétences, et le bon état d’esprit, Israël a les deux« .w
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