SAVE THE DATE. CYBERGUERRE. CYBERLEADERS. Le 12/12/2023 de 17 heures à 19h30 se tiendra à Paris une session de networking de haut niveau avec des leaders mondiaux reconnus comme experts dans l’univers du Cyber.

Cette séance, sur inscription uniquement, se tiendra à la suite d’un évènement qui se déroulera la veille au Sénat. Gérard Pomper et Samy Peres proposent ce programme mis en oeuvre par une équipe spécialisée basée à Paris.

A Savoir : « Un peu moins de 200 start-up françaises sont spécialisées en cybersécurité. Près de 750 levées dans la cybersécurité en Europe l’an dernier pour un montant de près de 15 milliards d’euros. La 4e édition du baromètre Tikehau Capital, révélée le 8 mars 2023, peut mettre du baume au coeur de l’écosystème cyber français. L’Europe pèse dorénavant pour 16 % des montants levés (contre 9 % en 2021) et dépasse significativement Israël, dont la cyber est l’une des spécialités historiques ».

Pour en savoir plus : daniel@rouach.net

LE PLUS.

La cyberguerre, guerre cybernétique (en anglais : cyberwarfare) ou guerre de la toile consiste en l’utilisation d’ordinateurs et d’Internet pour mener une guerre dans le cyberespace. Depuis le début du XXIe siècle, le réseau global est devenu un lieu de confrontation militaire. De nouveaux champs de bataille se sont organisés avec comme cibles les sites et organisations gouvernementales, les institutions, les grandes et moyennes entreprises, les organisations privées et les particuliers. Les acteurs de ces attaques sont les groupements de pirates informatiques, les organisations terroristes, des escrocs mais aussi les armées et les organisations gouvernementales.

USINE NOUVELLE. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le champ de bataille est plus occupé par des canons Caesar français, des drones kamikazes iraniens et des lance-missiles Javelin américains que par des armes cyber. Une impression trompeuse ? « La cyberguerre a bel et bien eu lieu, contrairement à ce qu’a donné à croire l’absence de “cyber Pearl Harbor” », rétorque le général de division Aymeric Bonnemaison, chef du commandement de la cyberdéfense des forces françaises (le Comcyber), dont les équipes ont analysé le conflit. « C’est une arme utilisée quotidiennement », renchérit-il. Tour d’horizon des six leçons à tirer de la cyberguerre ukrainienne.

Partager :