L’association Burj Alluqluq, basée dans la partie orientale de Jérusalem, a refusé une aide financière d’un million d’euros (4 millions de shekels) proposée par des pays européens.
En y regardant de plus près, la raison de ce refus surprenant est la suivante : dans la proposition de contrat qui lie les donateurs à l’association, une nouvelle clause stipule que l’argent ne doit en aucun cas servir à financer des activités terroristes et que cette association ne doit pas avoir de liens avec des organisations terroristes.
Burj Alluqluq développe des activités subversives à Jérusalem et bénéficie de subsides européens, « palestiniens » et turcs.
Il y a une année, et grâce à une campagne d’information israélienne efficace, l’Union européenne avait introduit une clause dans les contrats stipulant que tout lien des bénéficiaires avec des organisations terroristes entraînerait un arrêt unilatéral de l’aide financière de l’UE.
En refusant cette aide, Burj Alluqluq, reconnaît ouvertement que ses activités sont beaucoup moins innocentes que celles qu’elle veut bien indiquer dans ses statuts officiels. Comme de très nombreuses de ses consoeurs.
Dans un communiqué, elle dit « rejeter cette aide conditionnée qui porte atteinte à la sainteté du combat national palestinien » et qualifie l’attitude européenne de « chantage politique ».