EDITORIAL.
Les accords signé à la Maison Blanche créent une nouvelle dynamique dans la région, lorsque d’autres pays arabes commencent à penser : « Où en sommes-nous sur cette célébration de la vie ? »
Ces sentiments sont exprimés dans un article de l’éminent journaliste libanais Nadim Koteish, publié hier dans le journal panarabe Al-Sharq al-Awsat, publié à Londres.
Dans un article intitulé « Quand arrivera la paix entre le Liban et Israël ? » l’auteur écrit : « La chose la plus logique après la paix entre Israël et les Emirats Arabes Unis et Bahreïn est que le Liban signe le même accord avec Israël. » «Nous n’avons pas de véritable conflit avec Israël. Les frontières maritimes et terrestres sont des problèmes résolubles et elles ne constituent pas un véritable obstacle à la paix », poursuit-il.
Après les tout premiers rapports sur la normalisation à venir avec les Emirats Arabes Unis, de nombreux Libanais ont écrit sur les réseaux sociaux : « Nous devons être les prochains sur la liste ». Les travaux de préparation d’un traité de paix entre Israël et le Liban devaient commencer après la deuxième guerre du Liban avec l’établissement d’une frontière mutuellement reconnue entre les deux pays ; les négociations sur la démarcation de la frontière ont commencé, mais se sont rapidement embourbées et complètement arrêtées.