L’origine de l’industrie de capital risque en plein essor peut être attribuée à une initiative gouvernementale de 1993 appelée le programme Yozma (« Initiative » en hébreu) qui offre alors des incitations fiscales attrayantes à tout investissement de capital-investissement étranger en Israël et propose de doubler tout investissement avec des fonds du gouvernement.
En conséquence, entre 1991 et 2000, les dépenses annuelles de capital-risque en Israël, presque toutes privées, sont multipliées par plus de 60, passant de 58 millions $ à 3,3 milliards $. Les entreprises lancées par des fonds de risque israéliens passent de 100 à 800 et les revenus de technologie de l’information en Israël passent de 1,6 milliard $ à 12,5 milliards $ En 1999, Israël occupait le deuxième rang, derrière les États-Unis, dans le montant de capital privé investi en tant que part du PIB.
L’industrie florissante du capital-risque en Israël joue un rôle important dans le secteur en plein essor de la haute technologie, la crise financière mondiale de 2007-2010 affecte également la disponibilité du capital-risque au niveau local. En 2009, il y a 63 Fusions-acquisitions sur le marché israélien d’une valeur totale de 2,54 milliards de dollars$, 7 % en dessous des niveaux de 2008 (2,74 milliards $), lorsque 82 entreprises israéliennes ont été fusionnées ou acquises et 33 % inférieures à celles de 2007 (3,79 milliards $) lorsque 87 entreprises israéliennes ont été fusionnées ou acquises21. De nombreuses sociétés israéliennes de haute technologie ont été acquises par des sociétés mondiales pour leur personnel qualifié et fiable.
L’industrie israélienne du capital-risque compte environ 70 fonds actifs de capital risque, dont 14 internationaux ayant son siège en Israël. En outre, il existe quelque 220 fonds internationaux, comme Polaris Partners (en), Accel Partners et Greylock Partners (en), qui n’ont pas de succursales en Israël, mais investissent activement dans le pays par l’intermédiaire d’un spécialiste interne.
En 2009, le secteur de sciences de la vie domine le marché avec 272 millions $ ou 24 % du capital total levé, suivi par le secteur du logiciel avec 258 millions $ ou 23 %, le secteur des communications avec 219 millions $ ou 20 %, and theet le secteur d’internet avec 13 % du capital total levé en 2009

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