Tel-Aviv (Youval Dreyfus). Ariella Klein, une lectrice d’IsraelValley, nous a adressé un message sur une nouvelle tendance visible sur les plages de Tel-Aviv. Se faire tatouer l’aisselle ! En effet, c’est la dernière tendance en matière de tatouage et qui fait le «buzz» sur Instagram.
Selon ellequebec.com : « Les quelques 7000 publications sur Instagram, assorties du mot-clique #armpittattoo, prouvent que la tendance connaît une ascension fulgurante. Quant au motif à immortaliser sous les aisselles, il semblerait que le dessin floral soit le choix de prédilection. Avis à celles qui souhaitent un tatouage discret: on ne dévoile notre «armpit tattoo» qu’en levant les bras. Si notre seuil de tolérance à la douleur est nulle, par contre, on passe notre chemin: la zone des aisselles serait l’une des plus sensibles et des plus douloureuses du corps ».
Selon Tel-Avivre : « En Israël comme un peu partout, la mode des tatouages s’est répandue d’une façon étonnamment rapide. Problème de l’œuf ou de la poule, est-ce le fait de devoir répondre à un nombre exponentiel d’amateurs qui a fait s’éclater le nombre des tatoueurs ou bien l’inverse à savoir une clientèle qui découvre alors qu’elle n’y aurait peut-être pas pensé qu’elle avait justement envie de ce petit plus !
Excellente nouvelle pour les amateurs, plus la demande est grande plus l’on peut voir boutiques, arrière-boutiques, échoppes et officines fleurir et les créateurs proposer de nouvelles approches, de nouvelles accroches destinées à séduire un public qui se recrute plus particulièrement sur les pages des réseaux sociaux tels Facebook, Tweeter et autres. Peut-être encore davantage ici qu’ailleurs parce que pays de mer et de soleil, les corps aiment à s’agiter à moitié nus dans la vague au moins autant que s’exposer à la lumière de cet astre sans qui les « choses ne seraient que ce qu’elles sont ».
Mais le tatouage est beaucoup plus encore qu’une simple façon d’alléguer quoi que ce fut avec qui que ce soit. Et ce sont les jeunes les plus attirés par ce genre de manifestation revendicative pour plusieurs raisons dont une d’importance : Encore interdit la veille, le jour de leurs dix-huit ans, c’est le premier geste d’adulte dont ils n’auront de comptes-à-rendre à personne d’autres… Qu’à eux-mêmes !… »

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