Le Forum économique mondial sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord a eu lieu le samedi 6 avril sur les bords de la mer Morte en Jordanie. Cent start-ups du Moyen-Orient ont été invitées à participer à ce sommet et parmi elles 21 jeunes entreprises innovantes installées en Jordanie. L’économie de ce petit royaume arabe souffre, mais elle peut compter sur un tissu de start-ups très dynamiques, qui ont la capacité de relever l’économie jordanienne.
Avec notre correspondant à Amman, Jérôme Boruszewski
Elle a créé 40 emplois. Pénélope Shihad est à la tête d’une start-up en biotechnologie. Son entreprise se développe dans un pays où le taux de chômage atteint 19%. Pour elle, la solution aux problèmes économiques de la Jordanie passe par le développement des start-ups.
« Le gouvernement et même le secteur privé ne sont pas capables d’offrir davantage d’emplois. Les secteurs sont saturés, le gouvernement n’a pas assez de budgets pour employer plus de gens, donc la seule solution, c’est de créer plus d’entreprises et de faire ainsi croître l’économie », explique Pénélope Shihad.
Oasis 500, un accélérateur de start-ups à Amman a investi dans plus de 150 projets de ces jeunes entreprises ces huit dernières années.
« Nous avons créé plus de 600 emplois directs et plus de 4 000 emplois indirects. Les accélérateurs de start-ups ont aidé en Jordanie, pas seulement en employant, mais aussi parce que beaucoup de gens savent maintenant ce que c’est que d’être un entrepreneur. Nous avons changé beaucoup de mentalités », assure Fahed Qteishat, responsable du marketing.
Mais ceux qui créent des start-ups en Jordanie se plaignent des impôts trop importants d’après eux et beaucoup s’installent dans les pays du Golfe.
Elle a créé 40 emplois. Pénélope Shihad est à la tête d’une start-up en biotechnologie. Son entreprise se développe dans un pays où le taux de chômage atteint 19%. Pour elle, la solution aux problèmes économiques de la Jordanie passe par le développement des start-ups.
« Le gouvernement et même le secteur privé ne sont pas capables d’offrir davantage d’emplois. Les secteurs sont saturés, le gouvernement n’a pas assez de budgets pour employer plus de gens, donc la seule solution, c’est de créer plus d’entreprises et de faire ainsi croître l’économie », explique Pénélope Shihad.
Oasis 500, un accélérateur de start-ups à Amman a investi dans plus de 150 projets de ces jeunes entreprises ces huit dernières années.
« Nous avons créé plus de 600 emplois directs et plus de 4 000 emplois indirects. Les accélérateurs de start-ups ont aidé en Jordanie, pas seulement en employant, mais aussi parce que beaucoup de gens savent maintenant ce que c’est que d’être un entrepreneur. Nous avons changé beaucoup de mentalités », assure Fahed Qteishat, responsable du marketing.
Mais ceux qui créent des start-ups en Jordanie se plaignent des impôts trop importants d’après eux et beaucoup s’installent dans les pays du Golfe.