130 soldats de Tsahal et une équipe de Zaka viennent de s’envoler pour le Brésil afin de tenter de retrouver des disparus suite à la rupture d’un barrage minier qui a déjà fait 58 victimes.
Selon RFI : « La petite ville de Brumadinho, dans le sud-est du Brésil, est encore en état de choc, trois jours après la rupture du barrage d’une mine. Le dernier bilan toujours provisoire communiqué ce dimanche soir par les autorités brésiliennes est de 58 morts, dont seulement 19 ont été identifiés, et 305 disparus. Il y a 192 rescapés. Les habitants sont traumatisés.
Avec notre envoyé spécial à Brumadinho, Martin Bernard
Les recherches des victimes ont été relancées ce dimanche 27 janvier dans l’après-midi. Elles avaient été suspendues en raison du risque de rupture d’un autre barrage. Une fausse alerte. Mais vendredi, avant la catastrophe, aucune alarme n’avait retenti. Les familles des disparus continuent d’affluer vers un centre d’assistance où elles peuvent demander des informations et rencontrer des psychologues.
Elcilain a perdu sa nièce de 17 ans, qui venait juste de commencer un stage dans une auberge complètement ensevelie par le torrent de boue. « On se sent complètement détruit, confie la jeune femme. Dans la ville entière, tout le monde connaît quelqu’un, un proche qui a été atteint. Dans les quartiers, on voit des gens en larmes partout. On n’arrive pas encore à y croire. »
Edimar, lui, a travaillé pendant longtemps à la mine, jusqu’à l’an dernier. « J’ai travaillé directement sur ce barrage et jamais on aurait pu imaginer que quelque chose comme ça pourrait se passer », dit-il. Plusieurs de ses anciens collègues ont péri. A Brumadinho, chacun exprime sa douleur, avec la certitude que plus rien ne sera jamais comme avant ».
Les recherches des victimes ont été relancées ce dimanche 27 janvier dans l’après-midi. Elles avaient été suspendues en raison du risque de rupture d’un autre barrage. Une fausse alerte. Mais vendredi, avant la catastrophe, aucune alarme n’avait retenti. Les familles des disparus continuent d’affluer vers un centre d’assistance où elles peuvent demander des informations et rencontrer des psychologues.
Elcilain a perdu sa nièce de 17 ans, qui venait juste de commencer un stage dans une auberge complètement ensevelie par le torrent de boue. « On se sent complètement détruit, confie la jeune femme. Dans la ville entière, tout le monde connaît quelqu’un, un proche qui a été atteint. Dans les quartiers, on voit des gens en larmes partout. On n’arrive pas encore à y croire. »
Edimar, lui, a travaillé pendant longtemps à la mine, jusqu’à l’an dernier. « J’ai travaillé directement sur ce barrage et jamais on aurait pu imaginer que quelque chose comme ça pourrait se passer », dit-il. Plusieurs de ses anciens collègues ont péri. A Brumadinho, chacun exprime sa douleur, avec la certitude que plus rien ne sera jamais comme avant ».