Une nouvelle étude suggère que certains traitements de fertilité sont associés à un risque accru de cancer chez les enfants.
Selon les recherches menées par l’Université Ben-Gurion et le Centre médical de l’Université Soroka en Israël, les enfants conçus par fécondation in vitro (FIV) courent un risque face à certaines maladies malignes comme le cancer.
Sur les 242 187 nouveau-nés choisis pour cette étude, 98,3% ont été conçus spontanément; 1,1 % ont été conçus par FIV et 0,7 % ont été conçus après traitements par induction ovulation (OI).
A l’issue de 11 années de suivi, 1498 néoplasmes ou tumeurs ont été diagnostiqués. Et le taux d’incidence pour ces tissus anormaux était plus élevé chez les enfants nés après une FIV.
Sur les 242 187 nouveau-nés choisis pour cette étude, 98,3% ont été conçus spontanément; 1,1 % ont été conçus par FIV et 0,7 % ont été conçus après traitements par induction ovulation (OI).
A l’issue de 11 années de suivi, 1498 néoplasmes ou tumeurs ont été diagnostiqués. Et le taux d’incidence pour ces tissus anormaux était plus élevé chez les enfants nés après une FIV.
Prendre un compte le risque de cancer dans le suivi pédiatrique
« Cette étude nous invite à conclure que l’association entre la FIV et les cancers pédiatriques est significative », a déclaré le co-auteur de l’étude, Eyal Sheiner, sur Eurekalert.
« Avec un nombre croissant d’enfants conçus après un traitement de fertilité, il est important de suivre leur santé ».
Les scientifiques concluent que le suivi de la santé des enfants nés par procréation médicalement assistée devrait désormais prendre en compte ce risque accru de tumeurs malignes.
Source : https://www.topsante.com