Le shekel est moins de 1 % plus faible qu’au début de 2023, avant la réforme judiciaire et la fracture sociale, ainsi qu’avant la guerre et ses implications économiques. « Globes » demande si la valeur du shekel est justifiée.
Malgré la guerre à Gaza, la menace d’ouverture de nouveaux fronts, la montée en flèche du déficit budgétaire d’Israël et une série d’autres facteurs économiques susceptibles d’affaiblir le shekel, la monnaie israélienne est à un sommet de six mois par rapport au dollar américain et l’euro.
Vendredi, dernier jour de négociation avant la fermeture des marchés internationaux des changes pour les vacances de Noël, le shekel s’est encore renforcé, tombant sous les 3,60 NIS/$ pour la première fois depuis l’été, tandis que l’euro est resté sous les 4 NIS/€. Le shekel est moins de 1 % plus faible qu’il ne l’était début 2023, avant la réforme judiciaire, les immenses manifestations, les attentats terroristes du 7 octobre et la guerre qui a suivi.