Ces derniers mois, les hôpitaux publics israéliens ont mis en garde à plusieurs reprises contre des déficits financiers et des difficultés budgétaires qui ne font que croître, atteignant des niveaux encore jamais connus.

Environ 11 hôpitaux devraient notifier au ministère de la Santé, au ministère des Finances et au Premier ministre qu’ils doivent prendre des mesures particulièrement drastiques pour réduire l’ampleur de la crise et éviter de s’effondrer complètement.

Parmi elles, les hôpitaux pourraient annuler des rendez-vous pour les « traitements non urgents ».

Sheba-Tel Hashomer, Assaf Harofeh, Rambam, le centre médical Ziv, Wolfson, le centre médical Galilée, Poria, Hillel Yaffe, Bnei Zion et Barzilai font partie des hôpitaux en crise. Mais ce problème affecte aussi les caisses maladie, qui souffrent d’une pénurie de médecins. Le temps consacré aux patients pourrait ainsi être réduit à 5 minutes par personne.

Les raisons des déficits sont nombreuses. Entre autres choses, la signature d’accords salariaux avec les employés de l’État – qui ont abouti à une augmentation des salaires des employés des hôpitaux, sans fournir de sources de financement proportionnels.

I24NEWS.

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