Des start-ups israéliennes cherchent à rendre la mer plus verte.

Le Centre national pour l’économie bleue présente une technologie océanique durable au premier Blue Tech Summit dans le port de Haïfa

Selon les Nations unies, les océans produisent 50 % de notre oxygène, absorbent 25 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone et captent 90 % de l’excès de chaleur généré par ces émissions.

Ils régulent notre climat et nos conditions météorologiques et soutiennent les services – du transport maritime à la pêche en passant par l’énergie – qui, combinés, constitueraient la septième économie mondiale en termes de PIB.

Mais les mers subissent une énorme pression, du fait du dérèglement climatique, de la pollution et de la surexploitation. Des start-ups israéliennes font partie de celles qui essaient de trouver des solutions durables.

Mercredi, certaines d’entre elles ont présenté leurs innovations lors du premier Blue Tech Summit, au port de Haïfa dans le nord d’Israël.

Le sommet était organisé par le Centre national de l’économie bleue, créé il y a un an dans le cadre d’un partenariat entre le gouvernement israélien et l’Union européenne pour élaborer une stratégie de gestion durable des océans.

Grâce au financement de la municipalité de Haïfa, le centre soutient 14 nouvelles start-ups dans son accélérateur au port et crée un écosystème d’entrepreneurs, d’investisseurs, de chercheurs et de groupes environnementaux en Israël et à l’étranger.

Plus de 300 personnes ont assisté à la ConFab, dont des délégations du Portugal, de l’Inde, de la Corée du Sud, du Japon et de la Grèce.

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