De nombreux Israéliens ont tiré profit de la crise en améliorant leur sort, voire en s’enrichissant. Un article de Jacques Bendelac (Copyrights).
A qui profite le Covid en Israël ?
Les travailleurs au noir : l’envolée du chômage a conduit de nombreux Israéliens à effectuer des travaux non déclarés pour ne pas perdre leur droit aux prestations sociales.
C’est ainsi que la fraude à la Sécurité sociale a fait un bond en avant : beaucoup de salariés « en congé sans solde » sont devenus de « faux chômeurs » qui continuent de travailler tout en percevant les allocations de chômage.
Même situation pour certains indépendants : contraints de fermer boutique, ils ont continué d’offrir leurs services au noir, rémunérés en espèces et sans facture.
Les services publics : la pandémie fut l’occasion idéale pour les services publics d’accélérer le processus de transformation vers la digitalisation.
Parmi les services publics qui se sont dématérialisés le plus efficacement, on remarquera notamment : le Service de l’Emploi, les Impôts, la Sécurité sociale, la Poste, etc.
Nul doute que l’Administration en ligne survivra à la crise sanitaire, pour le plus grand profit des usagers et contribuables.
LE PLUS. UN ARTICLE DE JAQUES BENDELAC.