La population d’Israël est jeune. Bien qu’étant un pays occidental, le taux de natalité d’Israël est plus élevé que celui de tous les autres pays de l’OCDE. Le taux de fécondité moyen d’Israël est de 3,01, et de 2,2 chez les femmes laïques – un chiffre qui continue à augmenter.

En outre, 28,1 % de la population est âgée de 0 à 14 ans, et seulement 12 % est âgée de 65 ans et plus, a indiqué le Bureau central des statistiques en début de semaine. (T.O.I)

En 2018, les Françaises ont le taux de fécondité le plus élevé de l’UE, avec 1,88 enfant par femme. Elles sont suivies des Suédoises et des Roumaines (1,76), des Irlandaises (1,75) et des Danoises (1,73).

Le taux de fécondité peut se définir comme le rapport des naissances vivantes durant une période, généralement l’année, à un effectif convenable de femmes (par exemple les 15-50 ans, ou pour chaque âge). L’indice synthétique de fécondité est la somme des taux de fécondité générale par âge durant une période. Il est en pratique synonyme d’indicateur conjoncturel de fécondité ou nombre moyen d’enfants par femme.

Ce terme se distingue du taux de natalité, qui correspond au nombre annuel de naissances divisé par la population totale de cette année.

Le taux de fécondité est un indice statistique permettant de mesurer la tendance d’une population à augmenter ou à diminuer naturellement. Il détermine le taux de natalité Celui-ci permet de calculer la variation naturelle de la population, c’est-à-dire sans tenir compte des flux migratoires, en soustrayant le taux de mortalité. Il s’agit d’une mesure transversale.

 

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