L’Administration fiscale a annoncé qu’entre les mois de mars et septembre 2020, plus de 55.000 dossiers de créations d’entreprises ont été déposées. Il s’agit certes d’une baisse de 23,4% par rapport à la même période en 2019 (71.873) mais au vu de la crise économique engendrée par le Corona, il s’agit d’une donnée encourageante.
Il s’agit essentiellement de petites entreprises dans des domaines adaptés à la crise actuelle : coursiers, transports et divers métiers pouvant s’exercer depuis la maison. Beaucoup parmi ceux qui ont créé leur propre entreprise sont des salariés qui ont été licenciés à cause de la crise ou des employés en situation de congé sans solde mais qui ne voulaient plus dépendre de leurs employeurs. (LPH)
ECONOMIE ISRAËL Israël va autoriser l’entrée sur son territoire d’hommes d’affaires en provenance de pays à haut risque de COVID-19, mais avec un certain nombre de restrictions, a annoncé jeudi le ministère de l’Economie.
Le but de cette nouvelle politique est d’aider les entreprises israéliennes à fonctionner aussi normalement que possible et à empêcher l’économie israélienne de trop souffrir pendant la pandémie, a indiqué le ministère.
Le ministère de l’Economie a lancé ce plan en collaboration avec l’Autorité israélienne de la Population et de l’Immigration, le ministère de la Santé et le ministère des Affaires étrangères. La procédure concernera les hommes d’affaires non israéliens qui souhaiteraient effectuer une brève visite d’affaires en Israël, jusqu’à un maximum de quatre jours. L’entrée en Israël ne sera possible que pour des visites dont la contribution à l’économie israélienne est essentielle, et dépasse l’intérêt immédiat du demandeur.
La demande ne sera en outre approuvée que si la réunion d’affaires concernée ne peut pas avoir lieu de manière virtuelle. Chaque visiteur devra passer un test de dépistage du coronavirus et présenter un résultat négatif. Les visiteurs ne seront en outre autorisés à rencontrer qu’un nombre limité de personnes pendant leur séjour en Israël.