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Covid-19. Crise pour Gilead. En Israël, la déprime pour les Restaurateurs, Startups, Agences de voyage…
A. Gilead plombé par une étude négative sur un médicament Covid-19. Des tests cliniques ne constatent aucune efficacité concernant le Remdesivir, une substance pourtant considérée comme prometteuse face au virus. L’action de Gilead Sciences, la pharma américaine qui le conçoit, a chuté.
Le Remdesivir, le médicament le plus prometteur face au Covid-19 selon l’Université Johns Hopkins, pourrait décevoir. C’est en tout cas ce que laissent entendre les résultats d’essais cliniques menés en Chine par l’entreprise américaine Gilead Sciences, publiés par erreur par l’OMS jeudi et repris par la presse anglo-saxonne dans la foulée.
B. INFOS EN VRAC :
Le magazine hebdomadaire économique français Challenges consacre samedi un article à la gestion par Israël de la crise du coronavirus, qualifiée de “modèle” grâce au leadership de son Premier ministre Benjamin Netanyahu et à ses technologies de pointe. “Ce samedi 25 avril, Israël n’enregistrait, depuis le début de la pandémie, que 194 décès du Covid-19 pour une population de 8,8 millions d’habitants. Un chiffre particulièrement bas, si on le compare, par exemple, à la Belgique, pays de 10 millions d’habitants qui totalise 6.679 morts”, souligne le magazine.
A. Le financement des jeunes pousses est entravé par la crise du coronavirus. Après un arrêt net, les investisseurs en capital-risque reprennent lentement leur activité, en faisant preuve de davantage de frilosité.
B. En Israël, de l’hôtelier au libraire en passant par l’ostéopathe, l’horloger ou l’artiste, la liste des lésés ne cesse de s’étoffer depuis que le coronavirus gangrène l’économie mondiale. Peu de corps de métier sont épargnés par une crise dont l’issue est impossible à prévoir.
Tributaires de la reprise des activités des compagnies aériennes, mais surtout de la confiance de leur clientèle, les voyagistes israéliens paient une des factures les plus salées. «Nous n’avons aucune perspective, assène-t-il. Nous sommes la seule branche qui subit trois effets négatifs. D’abord, nous devons rembourser tous les voyages organisés. Ensuite, plus une réservation ne rentre. Mais surtout, nous ne recevons pas l’argent des prestataires concernés, notamment les compagnies aériennes.»
C. Privés de clients depuis plus des semaines, les restaurateurs israéliens se battent pour la survie de leur établissement. Jonglant entre aides d’Etat, livraisons de repas et/ou présence sur les réseaux sociaux, chacun à sa manière prépare la reprise. En rongeant son frein.
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