A Davos, pour Shabbat, les juifs du monde entier prient ensemble autour de la même table.

Par |2020-01-25T19:03:41+01:0025 Jan 2020|Catégories : EDITORIAL|
EXCLUSIF. ISRAELVALLEY. Outre un formidable creuset (3000 participants de 117 pays) où patrons (1700), dirigeants politiques, scientifiques et économistes et quelques militants écologistes ou humanitaires réfléchissent sur les grands défis de l’humanité, Davos reste un formidable rendez-vous d’affaires. Beaucoup de juifs assistent à cet évènement important. Des repas cashers sont prévus pour eux. Mais très peu de personnes le savent. A Davos, pour Shabbat, les juifs du monde entier se souhaitent « Shabbat Shalom » lors d’un repas privé. L’invitation se fait de bouche à oreille. C’est une tradition depuis des années. Elle a débuté sous l’impulsion des juifs banquiers de New-York soutenus par les israéliens. (IsraelValley spécial)

DAVOS. DANS LA CROIX. Les futures licornes françaises en tournée à Davos. Quelques entreprises françaises du Next 40 ont été invitées par le gouvernement au forum économique mondial, à Davos, pour tenter de les faire connaître hors de nos frontières. Ce club d’entreprise a été créé en France en septembre 2019 pour rassembler les start-up ayant le potentiel de devenir des champions mondiaux.

Les futures licornes françaises ont fait un tour dans les Alpes suisses. Les entreprises du Next 40 étaient présentes à Davos, au Forum économique mondial qui se termine vendredi 24 janvier. Elles étaient invitées par Business France, l’agence chargée de l’aide à l’exportation des entreprises françaises. Elles ont participé à plusieurs conférences, tables rondes et à une soirée en présence du ministre de l’économie Bruno Le Maire, le 23 janvier. C’est la première grande sortie hors de France des sociétés du Next 40.

DAVOS. DANS COURRIER INTERNATIONAL. Vanessa Nakate lutte contre le réchauffement climatique dans le cadre des Fridays for Future. À Davos, vendredi 24 janvier, elle a pris la pose aux côtés de Greta Thunberg à l’issue d’une conférence de presse. Mais sur la photo recadrée et publiée par Associated Press, elle brille par son absence.

Détesté par les uns, parce ce qu’il incarne l’ancien monde et l’égoïsme des milliardaires, ignoré superbement par les autres, qui ne savent rien de ce mystérieux sommet qui enferme chaque année durant quatre jours le nec plus ultra des dirigeants du monde dans une petite station suisse des Grisons, au pied de la montagne magique de Thomas Mann, Davos est pourtant à un tournant de son histoire. Une longue histoire engagée il y a cinquante ans par son fondateur, un professeur de management, Klaus Schwab, qui, dès les années 1970, alors que régnait la guerre froide, que la Chine ne s’était pas encore éveillée, avait eu l’intuition que le capitalisme ne pourrait surmonter ses contradictions qu’en s’ouvrant à ses « parties prenantes » : salariés, clients, fournisseurs et société civile ».

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