Le couscous maghrébin (adoré en Israël) bientôt inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco ?
Un article de (1) : « Ils font cause commune sous la bannière d’un plat millénaire et universel, qui a traversé les siècles et les frontières en conservant sa saveur épicée intacte, les trois pays du Maghreb caressent le même rêve : inscrire le savoureux couscous, ce véritable régal pour les yeux et les palais, au patrimoine immatériel de l’humanité.
Unis derrière la même cause, l’Algérie, le Maroc et la Tunisie ne se contentent pas de rêver du jour où ce met traditionnel, qui fait partie d’un patrimoine maghrébin commun, se verra accorder cette insigne distinction. Ils s’emploient activement à ce que leur vœu le plus cher soit exaucé.
Preuve en est, la demande conjointe qu’ils ont déposée il y a un mois afin d’inscrire cette spécialité culinaire, dont l’Afrique du Nord préserve jalousement le secret de la semoule parfaitement roulée à la main, sur la liste représentative du patrimoine mondial de l’Unesco.
Preuve en est, la demande conjointe qu’ils ont déposée il y a un mois afin d’inscrire cette spécialité culinaire, dont l’Afrique du Nord préserve jalousement le secret de la semoule parfaitement roulée à la main, sur la liste représentative du patrimoine mondial de l’Unesco.
« Je suis très heureux que les pays du Maghreb se soient unis pour proposer la candidature de ce plat emblématique qui fait rêver des millions de gens de part et d’autres de la Méditerranée et dans le monde », s’est enthousiasmé le président de l’Institut du Monde Arabe (IMA), Jack Lang, tout en se « félicitant d’avoir fait accepter par l’Unesco l’idée d’un patrimoine immatériel pour la gastronomie ».
Elevé au rang d’art culinaire, le délicieux couscous maghrébin, qui a l’art d’aiguiser les appétits d’un continent à l’autre, saura à quelle sauce il sera mangé en décembre prochain, à Bogota… Il faut espérer qu’elle sera suffisamment goûteuse pour inciter l’Unesco à arbitrer en faveur de son entrée dans la cour des grands ».
(1) Source : oumma.com