De nombreux Français qui souhaitent travailler en Israël nous demandent des chiffres sur les salaires en Israël. Le magazine Moci a publié des chiffres.

Coût du travail. Le salaire minimum est de 230,77 NIS par jour pour les travailleurs employés cinq jours sur sept (Janvier 2017)

Le salaire moyen
Salaire mensuel moyen brut des hommes : 10.683 ILS (source : OIT, 2013) ;
Salaire mensuel moyen brut des femmes : 7.280 ILS (source : OIT, 2013).
Les cotisations sociales
Les contributions sociales payées par l’employeur: La participation des employeurs s’élève à 7,25% maximum.
Les contributions sociales payées par l’employé: Les cotisations sociales sont plafonnées à 43.240 ILS par mois en 2015. Les salariés paient un maximum de 12%. Les travailleurs indépendants paient 9,82% sur leur revenu mensuel, s’il ne dépasse pas 5.453 ILS et 16,23% au delà, avec un plafond à 42.240 ILS. Les paiements de dividendes sont exonérés.

AUTRES CHIFFRES EN ISRAËL. Les taxes à la consommation

Le taux d’imposition pour les sociétés étrangères.
Les entreprises résidentes, consitutées en Israël ou gérées et controllées en Israël sont taxées sur leurs revenus mondiaux, alors que les sociétés non-résidentes ne sont imposées que sur les revenus tirés d’activités en Israël.
La taxation des plus-valuesLes gains en capital sont généralement taxés au taux standard de l’impôt sur les sociétés, soit 26,5%, duquel on déduit l’inflation (accumulée depuis le 1 Janvier 1994). Ce taux peut néanmoins varier selon la date d’achat et le type d’actif.Les déductions et les crédits d’impôt.
Des incitations fiscales sont accordées pour la construction de logements locatifs, la R&D, l’embauche, les sociétés internationales de négoce, afin d’encourager l’investissement local et étranger; ainsi que les fonds internationaux servant aux joint-ventures, et les régimes professionnels pour le tourisme et les énergies renouvelables, entre autres.
Des zones de libre échange spécifiques ont également été créées avec des avantages fiscaux, notamment l’exonération de TVA et de taxe foncière, et un impôt sur les sociétés réduit.
Les holdings israéliennes qui investissent dans des sociétés étrangères bénéficient d’un traitement fiscal préférentiel. Par exemple, les dividendes versés par une holding à un actionnaire non résident sont imposés au taux réduit de 5%, retenus à la source.
Sources : Moci (Copyrights).

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