Pour travailler en Israël et s’intégrer au milieu professionnel, il faut aussi connaître la mentalité des Israéliens sur leur lieu de travail. Salarié ou patron, l’Israélien aura parfois un comportement direct, familier et parfois même brutal.
Qu’il s’agisse de son franc-parler ou de sa tenue vestimentaire décontractée (le costume cravate n’est pas de mise, pas même chez les ministres), l’Israélien au travail pourra surprendre un observateur non averti. Un francophone doit être conscient des différences de culture et de mentalité afin de mieux s’adapter au monde du travail en Israël.
Une des caractéristiques des Israéliens en général, et sur leur lieu de travail en particulier, est sans doute leur manque de politesse, voire l’impertinence. L’Israélien est se lie facilement, parle beaucoup et développe rapidement des relations amicales.
On se tutoie puisque le vouvoiement n’existe pas en hébreu et on s’appelle par son prénom à tous les niveaux de la hiérarchie. Ce qui ailleurs paraîtra pour de l’indiscrétion ou de la familiarité fait ici partie du comportement normal : les Israéliens n’hésitent pas à se montrer réciproquement leur fiche de paie, à s’enquérir de la santé de leurs épouses respectives et à s’intéresser à la carrière des enfants de leurs collègues, et tout cela de façon la plus naturelle qui soit.
Dans le quotidien, les Israéliens ne se serrent pas la main et ne se font pas la bise. On se dit « shalom, ma nishma ? » (« Bonjour, comment ça va ? ») et c’est tout. Si l’Israélien propose un café à son interlocuteur (collègue, client, fournisseur), ce dernier doit éviter de refuser, cela pourrait le vexer. Il est recommandé à un Européen de commander un café au lait (un « Nescafé ») plutôt qu’un café noir (un « turc » à l’oriental) qui est indigeste pour un consommateur non habitué.
Un article de Alain Zeitoun pour http://www.aaege-israel.org
Qu’il s’agisse de son franc-parler ou de sa tenue vestimentaire décontractée (le costume cravate n’est pas de mise, pas même chez les ministres), l’Israélien au travail pourra surprendre un observateur non averti. Un francophone doit être conscient des différences de culture et de mentalité afin de mieux s’adapter au monde du travail en Israël.
Une des caractéristiques des Israéliens en général, et sur leur lieu de travail en particulier, est sans doute leur manque de politesse, voire l’impertinence. L’Israélien est se lie facilement, parle beaucoup et développe rapidement des relations amicales.
On se tutoie puisque le vouvoiement n’existe pas en hébreu et on s’appelle par son prénom à tous les niveaux de la hiérarchie. Ce qui ailleurs paraîtra pour de l’indiscrétion ou de la familiarité fait ici partie du comportement normal : les Israéliens n’hésitent pas à se montrer réciproquement leur fiche de paie, à s’enquérir de la santé de leurs épouses respectives et à s’intéresser à la carrière des enfants de leurs collègues, et tout cela de façon la plus naturelle qui soit.
Dans le quotidien, les Israéliens ne se serrent pas la main et ne se font pas la bise. On se dit « shalom, ma nishma ? » (« Bonjour, comment ça va ? ») et c’est tout. Si l’Israélien propose un café à son interlocuteur (collègue, client, fournisseur), ce dernier doit éviter de refuser, cela pourrait le vexer. Il est recommandé à un Européen de commander un café au lait (un « Nescafé ») plutôt qu’un café noir (un « turc » à l’oriental) qui est indigeste pour un consommateur non habitué.
Un article de Alain Zeitoun pour http://www.aaege-israel.org