La guerre politique actuelle en Israël semble remettre en bonne place Ehoud Barak. Beaucoup de personnes ne le savent pas. Ehoud Barak a été le commandant de Netanyahou dans Tsahal. Et cela laisse des traces. Bibi ne l’a jamais oublié. Lors du discours de Netanyahou dans une grande salle du palais des expositions de Tel-Aviv , un seul nom a été prononcé par Bibi : celui de Barak. (photo by REUTERS/Baz Ratner)
Selon le correspondant de RFI à Jérusalem, Michel Paul : « En soutien au Premier ministre Benyamin Netanyahu, en difficulté après les derniers rebondissements dans les affaires de corruption qui le visent, les partisans du Likoud sont venus exprimer à Tel-Aviv leur mécontentement de la couverture médiatique des affaires qui visent le Premier ministre et les enquêtes policières en cours contre lui.
Selon le correspondant de RFI à Jérusalem, Michel Paul : « En soutien au Premier ministre Benyamin Netanyahu, en difficulté après les derniers rebondissements dans les affaires de corruption qui le visent, les partisans du Likoud sont venus exprimer à Tel-Aviv leur mécontentement de la couverture médiatique des affaires qui visent le Premier ministre et les enquêtes policières en cours contre lui.
« Bibi, Bibi, nous t’aimons tous », scandent les membres du Likoud, le parti du Premier ministre israélien, venus lui apporter leur soutien. uelque 3000 personnes en tout. Et au premier rang, des ministres et des députés et encore d’autres proches de Benyamin Netanyahu.
Ce dernier a copieusement fustigé la gauche et les « fake news », affirmant qu’Israël ne s’était jamais aussi bien porté de son histoire que sous le gouvernement du Likoud : « La gauche et les médias – c’est la même chose – se sont mobilisés dans une campagne obsessive, sans précédent, contre ma famille et moi pour tenter de perpétrer un coup d’Etat ».
Netanyahu s’en est également pris à son prédécesseur Ehud Barak, le qualifiant de « vieillard à la barbe nouvelle ». Réaction cinglante de Barak : « Il n’y a pas de persécution, mais de la corruption, il n’y a pas de leadership, mais seulement de la panique ». Netanyahu a « franchi toutes les lignes », affirme Yair Lapid, un autre leader de l’opposition. « Ce que nous avons vu ce soir n’était pas une manifestation de soutien à Netanyahu, mais un soutien à la corruption », a-t-il ajouté ».
Ce dernier a copieusement fustigé la gauche et les « fake news », affirmant qu’Israël ne s’était jamais aussi bien porté de son histoire que sous le gouvernement du Likoud : « La gauche et les médias – c’est la même chose – se sont mobilisés dans une campagne obsessive, sans précédent, contre ma famille et moi pour tenter de perpétrer un coup d’Etat ».
Netanyahu s’en est également pris à son prédécesseur Ehud Barak, le qualifiant de « vieillard à la barbe nouvelle ». Réaction cinglante de Barak : « Il n’y a pas de persécution, mais de la corruption, il n’y a pas de leadership, mais seulement de la panique ». Netanyahu a « franchi toutes les lignes », affirme Yair Lapid, un autre leader de l’opposition. « Ce que nous avons vu ce soir n’était pas une manifestation de soutien à Netanyahu, mais un soutien à la corruption », a-t-il ajouté ».