Tel-Aviv (Eyal Koren). Incroyable mais vrai… Le journal Globes a fait état ce jour d’une fête gigantesque organisée cette semaine par Teva à Césarée. Le coût de l’évènement : un million de dollars. Plus de 2800 invités. Les dirigeants de Teva ont-ils voulu remonter le moral des employés ? Certainement. Mais il faut avouer que le timing de cette fête est bien mauvais.
Le titre Teva a à nouveau été secoué en Bourse lundi 7 août, le laboratoire pharmaceutique israélien perdait 9,76%, tombant à 18,59 dollars à la Bourse au New York Stock Exchange. Résultat : entre le 2 et le 8 août, la capitalisation boursière de Teva est passée de 31,75 milliards de dollars à 18,89 milliards de dollars.
Cette nouvelle secousse en Bourse s’explique en partie par une note sévère de Morgan Stanley, publiée lundi, qui a baissé ses recommandations sur le titre du groupe. Et ce, à l’instar de Moody’s qui avait dégradé vendredi d’un cran la note du laboratoire (de Baa2 à Baa3). Argument mis en avant par la banque américaine : la pression sur le prix des génériques pésera lourd « sur les bénéfices et les dividendes de Teva« . Morgan Stanley estime avoir auparavant « sous-estimé ce risque ».
Cette nouvelle secousse en Bourse s’explique en partie par une note sévère de Morgan Stanley, publiée lundi, qui a baissé ses recommandations sur le titre du groupe. Et ce, à l’instar de Moody’s qui avait dégradé vendredi d’un cran la note du laboratoire (de Baa2 à Baa3). Argument mis en avant par la banque américaine : la pression sur le prix des génériques pésera lourd « sur les bénéfices et les dividendes de Teva« . Morgan Stanley estime avoir auparavant « sous-estimé ce risque ».