C’est l’histoire d’une startup israélienne au nom de White-Hat qui rassemble des grands professionnels qui traquent avec un degré d’expertise élevé les pirates du web. C’est une startup qui refuse d’ouvrir ses portes aux journalistes et qui cache les photos de visages de ses employés.
Sharon Nimirovski dirige White-Hat qui compte 34 personnes. Les employés de la startup collectent des renseignements sur les criminels ou sur les attaques de rançon que complotent les pirates.
Selon Times of Israel : « Les clients de l’entreprise sont notamment des entreprises de finance et de santé d’Israël et du monde entier et , ainsi que des ministères israéliens, a indiqué Nimirovski. Avant de lancer White-Hat, il travaillait comme responsable de la sécurité informatique dans une entreprise privée d’Israël, et comme directeur technique d’un hôpital ».
e web profond, appelé aussi web invisible ou web caché (en anglais deep web) désigne la partie de la toile accessible en ligne, mais non indexée par les moteurs de recherche classiques généralistes (certains moteurs, tels que BASE, prennent en compte cette partie du réseau). Cette terminologie oppose « web profond » à web surfacique. Le deep web représenterait 96 % de l’intégralité du web alors que le web accessible par tous ne représenterait que 4% du contenu.
Une étude réalisée par l’entreprise BrightPlanet estimait que le web profond pouvait contenir 500 fois plus de ressources que le web indexé par les moteurs de recherche. Ces ressources, en plus d’être volumineuses, sont souvent de très bonne qualité, notamment parce que la compression des fichiers y est moins conséquente. Le web invisible représenterait 70 à 75 % de l’ensemble, soit environ un trilliard de pages non indexées.