Les banques israéliennes ne peuvent plus refuser leurs services aux sociétés crypto. En Israël, le procureur général a dévoilé un point de vue tranché concernant la situation des banques et des crypto dans le pays. Selon le Dr. Avichai Mandelblit, les banques ne peuvent pas refuser d’offrir leurs services aux particuliers et aux sociétés liées aux crypto.
Aujourd’hui, les établissements bancaires opérant sur le territoire israélien sont tenus de respecter la décision du tribunal leur interdisant de fournir leurs services à des entités liées à la cryptographie.
Aucune transaction n’est donc réalisable pendant 2 ans, depuis que la décision a été prise.
Pourtant, au cours de l’instruction d’un différend par un tribunal du district de Tel Aviv, le procureur général Mandelblit a dévoilé sa position sur la question.
Si l’affaire concernait le refus de traitement par la banque Mercantile Discount Bank d’un paiement pour le compte de BIT2C, un exchange local, le procureur général Mandelblit a indiqué que les banques ne pouvaient pas imposer un refus à l’intégralité des transactions liées à la cryptographie.
Selon cet éminent juriste, il convient aux établissements bancaires de lancer des missions de surveillance sur les transactions afin d’évaluer celles qui peuvent être acceptées de celles qui ne le peuvent pas.
Cette interdiction des recours aux services bancaires pour les entités liées à des activités crypto est en effet imposée en Israël pour éviter toute collusion avec d’éventuels cas de blanchiment d’argent ou de financement d’opérations illicites, un clichés des plus classiques, en dépit de l’évidence.
Pour Mandelblit, toutes les opérations bancaires en Israël liées aux crypto ne devraient pas faire l’objet d’une suspicion.
Son avis est ainsi que « chaque cas devrait être traité individuellement pour vérifier l’éventualité d’un blanchiment d’argent ».
Aucune transaction n’est donc réalisable pendant 2 ans, depuis que la décision a été prise.
Pourtant, au cours de l’instruction d’un différend par un tribunal du district de Tel Aviv, le procureur général Mandelblit a dévoilé sa position sur la question.
Si l’affaire concernait le refus de traitement par la banque Mercantile Discount Bank d’un paiement pour le compte de BIT2C, un exchange local, le procureur général Mandelblit a indiqué que les banques ne pouvaient pas imposer un refus à l’intégralité des transactions liées à la cryptographie.
Selon cet éminent juriste, il convient aux établissements bancaires de lancer des missions de surveillance sur les transactions afin d’évaluer celles qui peuvent être acceptées de celles qui ne le peuvent pas.
Cette interdiction des recours aux services bancaires pour les entités liées à des activités crypto est en effet imposée en Israël pour éviter toute collusion avec d’éventuels cas de blanchiment d’argent ou de financement d’opérations illicites, un clichés des plus classiques, en dépit de l’évidence.
Pour Mandelblit, toutes les opérations bancaires en Israël liées aux crypto ne devraient pas faire l’objet d’une suspicion.
Son avis est ainsi que « chaque cas devrait être traité individuellement pour vérifier l’éventualité d’un blanchiment d’argent ».
Source The Coin Tribune