L’entreprise israélienne D-fend a annoncé que ses solutions de lutte anti-drones viendraient équiper différentes unités de défense et de sécurité américaines.
L’ambition est ainsi de pouvoir leur fournir un équipement afin de protéger des infrastructures sensibles et in fine de détecter et neutraliser des drones considérés comme malveillants, évoluant autour de sites tels que les bases aériennes.
Le contrat, dont on ne connaît ni la valeur ni le nombre de systèmes EnforceAir inclut, a été passé entre D-fend et le secrétaire adjoint à la défense pour les opérations spéciales (US Assistant Secretary of Defense Special Operations / Low-Intensity Conflict combatting terrorism technical support office).
Avant l’annonce officielle intervenue le 18 novembre, plus de 18 mois ont été consacrés à l’évaluation des systèmes et à leur personnalisation afin qu’ils répondent au mieux aux besoins des unités devant être protégées.
Parmi celles-ci figurent ainsi l’US Army, le FBI, les unités des opérations spéciales, le département à la sécurité intérieure ou encore les unités chargées de la surveillance et du contrôle des frontières.
Au total ce sont 20 unités qui ont été équipées au cours des six derniers mois, les systèmes de lutte anti-drones étant à ce jour opérationnels.
« Le système EnforceAir détecte et localise automatiquement et de façon passive, et identifie les drones malveillants tout en combinant différentes solutions de neutralisation, permettant de minimiser les risques pour les infrastructures et les personnels au sol », rapporte la société D-fend.
Le système de neutralisation capitalise sur la prise de contrôle au lieu du brouillage, qui, comme le rappelle l’entreprise, présente certains désavantages pour les communications et fréquences alentour.
Par ailleurs, grâce à cette solution, il est possible d’amener le drone à se poser sur une zone sécurisée, le brouillage pouvant aboutir à la chute du drone au sol.
Sur le plan de la détection, la société installe des antennes à 90°, pouvant être orientée afin de surveiller un périmètre ou un angle spécifique. La multiplication des antennes permet par ailleurs de couvrir une zone étendue.
En configuration fixe, le système de D-fend permet de protéger un événement ou une infrastructure.
Cependant il peut également être embarqué à bord d’un véhicule afin de pouvoir être acheminé sur une zone d’action spécifique.
Si un contrat a été remporté aux Etats-Unis, ce n’est pas le seul pays à avoir fait part de son intérêt pour cette solution de lutte anti-drones.
C’est ainsi que ce système est actuellement en cours d’évaluation en Espagne, au Royaume-Uni, au Japon, en Corée du Sud ou encore à Singapour.
Désormais l’entreprise souhaite se tourner vers l’Europe et identifie un marché prometteur en Scandinavie.
L’ambition est ainsi de pouvoir leur fournir un équipement afin de protéger des infrastructures sensibles et in fine de détecter et neutraliser des drones considérés comme malveillants, évoluant autour de sites tels que les bases aériennes.
Le contrat, dont on ne connaît ni la valeur ni le nombre de systèmes EnforceAir inclut, a été passé entre D-fend et le secrétaire adjoint à la défense pour les opérations spéciales (US Assistant Secretary of Defense Special Operations / Low-Intensity Conflict combatting terrorism technical support office).
Avant l’annonce officielle intervenue le 18 novembre, plus de 18 mois ont été consacrés à l’évaluation des systèmes et à leur personnalisation afin qu’ils répondent au mieux aux besoins des unités devant être protégées.
Parmi celles-ci figurent ainsi l’US Army, le FBI, les unités des opérations spéciales, le département à la sécurité intérieure ou encore les unités chargées de la surveillance et du contrôle des frontières.
Au total ce sont 20 unités qui ont été équipées au cours des six derniers mois, les systèmes de lutte anti-drones étant à ce jour opérationnels.
« Le système EnforceAir détecte et localise automatiquement et de façon passive, et identifie les drones malveillants tout en combinant différentes solutions de neutralisation, permettant de minimiser les risques pour les infrastructures et les personnels au sol », rapporte la société D-fend.
Le système de neutralisation capitalise sur la prise de contrôle au lieu du brouillage, qui, comme le rappelle l’entreprise, présente certains désavantages pour les communications et fréquences alentour.
Par ailleurs, grâce à cette solution, il est possible d’amener le drone à se poser sur une zone sécurisée, le brouillage pouvant aboutir à la chute du drone au sol.
Sur le plan de la détection, la société installe des antennes à 90°, pouvant être orientée afin de surveiller un périmètre ou un angle spécifique. La multiplication des antennes permet par ailleurs de couvrir une zone étendue.
En configuration fixe, le système de D-fend permet de protéger un événement ou une infrastructure.
Cependant il peut également être embarqué à bord d’un véhicule afin de pouvoir être acheminé sur une zone d’action spécifique.
Si un contrat a été remporté aux Etats-Unis, ce n’est pas le seul pays à avoir fait part de son intérêt pour cette solution de lutte anti-drones.
C’est ainsi que ce système est actuellement en cours d’évaluation en Espagne, au Royaume-Uni, au Japon, en Corée du Sud ou encore à Singapour.
Désormais l’entreprise souhaite se tourner vers l’Europe et identifie un marché prometteur en Scandinavie.
Source Apps Drones