L’un des amis de Julian Assange a affirmé que le fondateur de WikiLeaks avait été transféré dans le «Guantanamo britannique», a indiqué Bloomberg, précisant que l’établissement avait accueilli le bras droit de ben Laden.
Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a été placé en détention dans la prison de Belmarsh, dans le sud-est de Londres, qualifiée de Guantanamo britannique. La nouvelle a été annoncée le 12 avril par l’agence Bloomberg, se référant à Vaughan Smith, un ami de l’Australien.
Vaughan Smith est l’une des dernières personnes à avoir rendu visite à Julian Assange à l’ambassade d’Équateur avant son arrestation jeudi par la police britannique.
Belmarsh est une prison de haute sécurité qui a abrité des détenus à haut risque, notamment Abu Qatada, décrit par un juge espagnol comme le bras droit du leader d’al-Qaida en Europe, a précisé Bloomberg.Julian Assange a été arrêté le 11 avril. Selon Wikileaks, l’ambassadeur équatorien a «invité» la police pour l’arrêter. S’il est extradé vers les États-Unis, Julian Assange pourrait être condamné à la peine de mort pour la publication de documents secrets, estiment certains experts. Toutefois, selon le ministère américain de la Justice, il n’encourt que jusqu’à 5 ans de prison.
Le Président équatorien, Lenin Moreno, a déclaré que Londres lui avait garanti que Julian Assange ne serait pas extradé vers les États-Unis où il pourrait être exposé à la torture, voire même être condamné à la peine capitale
Vaughan Smith est l’une des dernières personnes à avoir rendu visite à Julian Assange à l’ambassade d’Équateur avant son arrestation jeudi par la police britannique.
Belmarsh est une prison de haute sécurité qui a abrité des détenus à haut risque, notamment Abu Qatada, décrit par un juge espagnol comme le bras droit du leader d’al-Qaida en Europe, a précisé Bloomberg.Julian Assange a été arrêté le 11 avril. Selon Wikileaks, l’ambassadeur équatorien a «invité» la police pour l’arrêter. S’il est extradé vers les États-Unis, Julian Assange pourrait être condamné à la peine de mort pour la publication de documents secrets, estiment certains experts. Toutefois, selon le ministère américain de la Justice, il n’encourt que jusqu’à 5 ans de prison.
Le Président équatorien, Lenin Moreno, a déclaré que Londres lui avait garanti que Julian Assange ne serait pas extradé vers les États-Unis où il pourrait être exposé à la torture, voire même être condamné à la peine capitale