Le vol reliait Addis-Abeba en Éthiopie à Nairobi au Kenya. L’avion s’est écrasé six minutes après le décollage. Au moins 32 nationalités étaient présentes à bord. Le parquet de Paris a annoncé avoir ouvert une enquête.
Un avion d’Ethiopian Airlines qui reliait Addis-Abeba (Éthiopie) à Nairobi (Kenya) s’est écrasé dimanche matin 10 mars avec ses 149 passagers et ses huit membres d’équipage. Parmi eux, neuf Français. «Le PDG du groupe (…) a le regret de confirmer qu’il n’y a pas de survivant», a indiqué la compagnie dans un communiqué, accompagné d’une photo de Tewolde GebreMariam au milieu d’un cratère provoqué par le crash et parsemé d’effets personnels et de débris. L’avion, un Boeing 737-800 MAX, s’est écrasé près de Bishoftu, à 62 km au sud-est d’Addis-Abeba, six minutes après le décollage, alors que le pilote évoquait des «difficultés» et avait demandé à faire demi-tour. Le Boeing s’est désintégré et les débris sont en grande partie calcinés, a constaté un journaliste de Reuters.
Les 157 personnes à bord de ce vol ET 302 sont originaires de 32 pays. Il y avait 32 Kényans, 18 Canadiens, 9 Français, 9 Ethiopiens, 8 Italiens, 8 Chinois, 8 Américains, 7 Britanniques, 6 Egyptiens, 5 Néerlandais, 4 Indiens, 4 Slovaques, 3 Autrichiens, 3 Suédois, 3 Russes, 2 Marocains, 2 Espagnols, 2 Polonais, 2 Israéliens, un Belge, un Somalien, un Togolais, un Ougandais et un Nigérian. Un centre d’information des passagers et un numéro de téléphone ont été mis en place.
Le parquet de Paris a annoncé dans la soirée avoir ouvert une enquête. Le centre de crise et de soutien du ministère de l’Europe et des affaires étrangères a ouvert une cellule de crise, joignable au 01 43 17 51 00. Ce même centre est en contact avec les familles des huit victimes.
La nationalité de passagers voyageant avec un passeport de l’Onu n’a pas encore été établie, a-t-il ajouté. Dans un communiqué, l’Onu dit déplorer la mort de 19 salariés travaillant pour une de ses agences.
Mais des détails concernant l’identité des passagers commençaient à émerger: un député slovaque, Anton Hrnko a ainsi perdu sa famille. «C’est avec une infinie tristesse que j’annonce que ma chère épouse, Blanka, mon fils Martin et ma fille Michala ont péri dans la tragédie aérienne à Addis Abeba ce matin», a écrit le député sur son compte Facebook.
Un responsable de la fédération kényane de football, Hussein Swale, et un archéologue italien et conseiller à la culture de la région Sicile (sud), Sebastiano Tusa, font partie des morts.
Parmi les huit Chinois décédés figurent des touristes, des employés de sociétés installées à l’étranger et un membre du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue), dont le siège est à Nairobi.
Les 157 personnes à bord de ce vol ET 302 sont originaires de 32 pays. Il y avait 32 Kényans, 18 Canadiens, 9 Français, 9 Ethiopiens, 8 Italiens, 8 Chinois, 8 Américains, 7 Britanniques, 6 Egyptiens, 5 Néerlandais, 4 Indiens, 4 Slovaques, 3 Autrichiens, 3 Suédois, 3 Russes, 2 Marocains, 2 Espagnols, 2 Polonais, 2 Israéliens, un Belge, un Somalien, un Togolais, un Ougandais et un Nigérian. Un centre d’information des passagers et un numéro de téléphone ont été mis en place.
Le parquet de Paris a annoncé dans la soirée avoir ouvert une enquête. Le centre de crise et de soutien du ministère de l’Europe et des affaires étrangères a ouvert une cellule de crise, joignable au 01 43 17 51 00. Ce même centre est en contact avec les familles des huit victimes.
La nationalité de passagers voyageant avec un passeport de l’Onu n’a pas encore été établie, a-t-il ajouté. Dans un communiqué, l’Onu dit déplorer la mort de 19 salariés travaillant pour une de ses agences.
Mais des détails concernant l’identité des passagers commençaient à émerger: un député slovaque, Anton Hrnko a ainsi perdu sa famille. «C’est avec une infinie tristesse que j’annonce que ma chère épouse, Blanka, mon fils Martin et ma fille Michala ont péri dans la tragédie aérienne à Addis Abeba ce matin», a écrit le député sur son compte Facebook.
Un responsable de la fédération kényane de football, Hussein Swale, et un archéologue italien et conseiller à la culture de la région Sicile (sud), Sebastiano Tusa, font partie des morts.
Parmi les huit Chinois décédés figurent des touristes, des employés de sociétés installées à l’étranger et un membre du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue), dont le siège est à Nairobi.