En 2025, l’économie israélienne a connu une année contrastée, marquée par une récession au T2 due aux conflits, mais avec une forte reprise au second semestre, aboutissant à une croissance annuelle projetée autour de 2,5 % à 3,5 %, selon diverses sources (FMI). Malgré un fort rebond de la consommation et de l’investissement, l’économie a été impactée par les dépenses de défense et les tensions géopolitiques.
Performances clés en 2025
- Croissance du PIB : Après un T2 négatif (-1.2% ou -3.5% selon les sources) dû aux hostilités, une forte croissance au T3 (+12.4% annualisé) a ramené la performance sur 9 mois autour de 3.5%. Les prévisions finales pour l’année oscillent entre 2.5% (FMI) et 3.1% (Ministère des Finances, avant révision).
- Rebond de la demande : La consommation privée et l’investissement ont stimulé la reprise après un coup d’arrêt.
- Secteurs : Les services restent dominants (80% du PIB), mais le secteur manufacturier a perdu de l’importance.
- Risques persistants : Le coût de la guerre et l’absence de solution de défense/budgétaire restent des préoccupations majeures pour la stabilité à long terme.
Perspectives pour 2026
- Accélération prévue : Les projections anticipent une croissance plus forte, potentiellement autour de 5.2%, selon le Ministère des Finances, si l’accalmie géopolitique se maintient.
Défis
- Déficit budgétaire : La facture de la guerre pèse lourd, nécessitant une rigueur budgétaire future pour revenir aux niveaux d’avant-guerre.
- Image : L’économie israélienne a connu une baisse de son Indice des marques nationales en 2025, soulignant les défis d’image.


