Rachida Dati a exprimé des positions et mené des actions qui sont largement perçues comme pro-Israël. Ses déclarations et son soutien à des événements culturels israéliens en France ont été particulièrement remarqués, surtout dans le contexte des appels au boycott. 
Voici quelques éléments clés de sa position :
  • Affinité personnelle et politique : En 2008, lors d’une visite, elle a déclaré : « J’aime Israël et les Israéliens ». Les médias de l’époque ont noté qu’elle avait su tisser des liens avec l’État hébreu et que son origine, en tant que ministre française d’origine arabe manifestant sa sympathie, avait agréablement surpris les Israéliens.
  • Soutien culturel : En tant que ministre de la Culture en 2025, elle a apporté son soutien à l’Orchestre philharmonique d’Israël et au chanteur franco-israélien Amir Haddad, tous deux visés par des appels au boycott de collectifs propalestiniens. Elle a fustigé ces appels, les qualifiant de prétextes à de l’antisémitisme.
  • Lutte contre l’antisémitisme et le boycott : Elle s’est insurgée contre le boycott d’un colloque sur l’histoire des Juifs de France, affirmant que ces actions relèvent de la justice et de la politique pénale, et non de l’opinion.
  • Position diplomatique : Bien qu’elle défende une diplomatie française adaptée à la situation internationale, ses actions publiques tendent à marquer une ligne claire contre le boycott d’institutions culturelles ou d’artistes israéliens, s’alignant sur une position de non-ingérence de la politique dans la culture. 
Ses prises de position sont souvent saluées par des organisations juives françaises, comme le CRIF, qui dénoncent un climat d’« obsession et de détestation d’Israël » dans certains milieux culturels et universitaires. 
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