Polémique après la présence de vin israélien « Golan » à la carte du restaurant cofondé par Jamel Debbouze. Le BDS, connu pour sa folie anti-israélienne, a décidé d’attaquer ce restaurant qui a eu une merveilleuse idée : s’approvisionner en vins du Golan, très réputés et couverts de médailles. L’idée de servir du vin casher est intéressante pour l’Institut du monde arabe. Elle marque un pas vers la réconciliation culinaire entre juifs et arabes.

La carte des vins du restaurant parisien Dar Mima a déclenché une polémique lancée par le BDS ; le restaurant a malheureusement depuis retiré ces vins de sa carte mais IsraelValley a trouvé la parade: des clients du restaurant arrivent à présent avec des bouteilles de vins casher « Golan » dissimulées dans leur sac à dos!

Les vins du Golan sont des vins israéliens provenant du plateau du Golan, caractérisés par leurs sols volcaniques, leur altitude et leur climat, offrant des conditions idéales pour la vigne. La production, principalement par la Golan Heights Winery, est diversifiée et comprend des vins casher de qualité, allant des vins de cépage aux assemblages et cuvées spéciales, disponibles sous des marques comme Yarden, Gamla, et Hermon. Ils sont reconnus pour leur puissance, leur raffinement et leur potentiel de garde. 

 

Illustration : L'Institut du monde arabe, à Paris, le 12 avril 2008. (Crédit : Jean-Pierre Dalbéra/CC BY-NC-SA 2.0)

Le restaurant Dar Mima, cofondé par Jamel Debbouze et situé sur le toit de l’Institut du monde arabe, à Paris, a été au cœur d’une polémique cet été, après la découverte de vins israéliens à sa carte. Une affaire qui illustre combien gastronomie, commerce et politique peuvent se confondre.

En inaugurant Dar Mima en 2023, Jamel Debbouze voulait rendre hommage à sa mère, Fatima, et célébrer une cuisine de mémoire empreinte d’élégance orientale et de partage universel. Mais deux ans plus tard, ce projet personnel s’est retrouvé pris dans une controverse inattendue : la présence de quelques bouteilles de vin israélien sur la carte. Un détail en apparence anodin, devenu un symbole explosif.

L’affaire éclate pendant l’été. Le 8 août, la campagne BDS France (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) adresse une lettre au restaurant. Le ton est sans détour : la présence de vins israéliens dans un établissement niché au sein de l’Institut du monde arabe est qualifiée d’ « incompréhensible » et « choquante ». L’organisation pointe notamment l’origine de certaines bouteilles, issues du plateau du Golan, annexé par Israël

 Times of Israël

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