Pourtant, la championne incontestée des bénéfices reste la compagnie électrique nationale. Malgré les coûts importants liés aux réparations dans les régions du sud et du nord affectées par le conflit, elle a réalisé un profit record de 3,4 milliards de shekels – 867 millions d’euros- en hausse de 50 %, notamment grâce à la vente de la centrale électrique Ashkelon dans une transaction dépassant 9 milliards de shekels.
Dans l’ensemble, le bénéfice net cumulé des entreprises publiques a atteint environ 7,6 milliards de shekels -1,9 millards d’euros- avec un taux de rentabilité de 7,4 %, en progression par rapport à l’année précédente. Ces bénéfices alimentent les dividendes versés à l’État, lesquels ont atteint un sommet de 1,2 milliard de shekels en 2024 -306 millions d’euros- un apport crucial pour financer les dépenses liées à la guerre et aux opérations en cours.
À noter, l’entreprise d’infrastructures énergétiques Tashaa a enregistré la plus grande perte de l’année, 41 millions de shekels.
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