Technologies. Tournée vers une clientèle étrangère, spécialisée dans le logiciel, la tech israélienne est moins impactée que d’autres pans de l’activité nationale par le conflit avec le Hamas.
La start-up nation israélienne endosse un nouveau rôle : moteur de l’économie du pays, elle va devoir aussi jouer les airbags.
Alors que la guerre avec le Hamas entame sa neuvième semaine, Israël voit ses perspectives économiques s’assombrir.
Des secteurs comme le tourisme, le BTP ou l’agriculture sont en panne sèche, la demande des ménages est en berne et la guerre coûte chaque jour 270 millions de dollars au pays, souligne l’Institut Xerfi.
« L’économie israélienne n’échappera pas à la récession fin 2023, début 2024 », écrit Alexandre Mirlicourtois, directeur de la conjoncture et de la prévision