Le budget comprend un vaste programme visant à stimuler les technologies basées sur l’intelligence artificielle, un plan concernant le logement visant à faire face à la flambée des prix, et l’autorisation pour les promoteurs immobiliers commerciaux de convertir des bureaux en unités résidentielles.
Le ministre des Finances Avigdor Liberman avait salué fin août le budget comme celui « le plus social de l’histoire du pays », avant sa soumission initiale à la Knesset. Le dossier comprenait également le projet de loi sur les arrangements, visant à déterminer comment les allocations des fonds seraient mises en œuvre.
Voici quelque éléments-clé, sur le plan économique et social, du programme :
1. Réduire le coût de la vie grâce à l’assouplissement des importations, en acceptant les normes internationales de produits des États-Unis et de l’UE, sans avoir besoin de certification locale supplémentaire, et en permettant à plusieurs parties d’importer des produits en parallèle. La quasi-totalité des importants dans le pays nécessitent actuellement une approbation réglementaire nationale.
Cela vise à accroître la concurrence sur les produits – électronique, alimentaire, cosmétiques, jouets, etc. – et à faire baisser les prix pour les consommateurs.
2. Réformer le secteur agricole pour permettre l’importation de produits, y compris les œufs et les produits laitiers en provenance de l’étranger. Cette décision vise à accroître la compétitivité et à proposer une gamme plus large de produits aux consommateurs israéliens.
Le plan s’accompagne également d’un généreux ensemble de subventions gouvernementales pour la modernisation des fermes et des infrastructures, y compris de nouveaux allégements fiscaux visant à encourager les investissements commerciaux dans le secteur agricole.
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