Le secteur de l’enseignement supérieur a subi d’importantes coupes budgétaires, estimées à environ 700 millions de shekels (environ 218 millions de dollars). La montée du boycott académique international s’est traduite par une diminution des subventions de recherche européennes, considérées comme un pilier essentiel du financement de la recherche scientifique en Israël.

Les budgets universitaires en Israël dépendent fortement des fonds gouvernementaux (environ 57%) et des revenus propres (dons, recherche), avec des frais de scolarité plafonnés et standardisés par le gouvernement pour les citoyens (environ 12,000 NIS pour un bachelor en 2025-26), bien que les étudiants internationaux paient plus, le système encourage la recherche avec des budgets en hausse, notamment via des fondations. 
Sources de financement
  • Gouvernement (57%) : Subventions directes et allouées à des projets spécifiques.
  • Revenus propres (29%) : Dons, subventions de recherche, royalties.
  • Frais de scolarité (14%) : Contrôlés par le Council for Higher Education (CHE). 
Frais de scolarité (Exemples pour 2025-2026)
  • Citoyens israéliens : Environ 12,017 NIS (NIS 12,017) pour un bachelor complet.
  • Non-citoyens : Frais plus élevés, variant (ex: 15,021 NIS à l’Université Hébraïque).
  • Réductions : Des réductions significatives existent, notamment pour les vétérans militaires (90% pour la première année). 
Partager :