ISRAELVALLEY SPECIAL. De Daniel Rouach à Rehovot. « Cancer, Alzheimer, sclérose en plaques… Ces données inestimables de l’Institut Weizmann détruites par les missiles iraniens ». C’est le titrage du journal Le Figaro.
IsraelValley est très bien placé pour vous donner une information cruciale qui va éteindre la joie immonde des ennemis d’Israël : des millions de dollars sont en voie d’être rassemblés aux Etats-Unis, Israël, Europe (dont la France) pour reconstruire les 52 labos détruits.
L’institut Weizmann est spécialisé dans la formation des masters (graduate students), des doctorats (PhD students) et des post-doctorats (postdoctoral researchers) dans les sciences exactes et naturelles. Il est l’un des principaux centres mondiaux de recherche multidisciplinaires avec près de 3 800 scientifiques, étudiants, techniciens et assistants. L’institut est composé de 5 facultés (biochimie, biologie, chimie, mathématiques & informatique, et physique), 17 départements, 50 centres de recherche multidisciplinaire et 260 laboratoires (une cinquantaine ont été détruits par les missiles lancés par les terroristes iraniens le 15 juin 2025).
En lisant l’article ci-dessous on pourrait croire que l’Institut est devenu un tas de détritus. Cela est très loin d’être les cas!
L’Institut est toujours magnifique et les scientifiques israéliens vont tout faire pour effacer très vite les marques de la folie iranienne. (DR)

RÉCIT – En juin dernier, les bombardements qui ont touché le fleuron de la recherche biomédicale d’Israël, au sud de Tel Aviv, ont causé des pertes scientifiques irréparables.
La guerre aura duré douze jours, durant lesquels Israël et la République islamique d’Iran se sont rendus coup pour coup par missiles interposés. L’État hébreu a essuyé de nombreux bombardements visant des zones résidentielles civiles.
Dans la nuit du 15 juin dernier, l’Institut Weizmann, fleuron mondial de la recherche biomédicale, a été très sévèrement touché. Les dégâts sont importants et les pertes scientifiques irréparables. De l’aile de recherche en chimie de l’Institut Weizmann, il ne reste qu’un enchevêtrement de poutres tordues et de murs effondrés. Les équipes se sont affairées très rapidement à tenter d’extraire ce qui pouvait encore être sauvé.
« Au milieu de la nuit, vers trois heures du matin, deux missiles balistiques se sont abattus sur le campus, raconte Alon Chen, président de l’Institut depuis 2019. Cinq bâtiments détruits. Cinquante-deux laboratoires anéantis. Heureusement, aucune victime n’est à déplorer.
