Comme pour les funérailles de Jean-Paul II en 2005, plus de 160 délégations de chefs d’Etat et de têtes couronnées assistent aux obsèques de François.
Outre le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres ou le président américain Donald Trump, sont aussi présents pour l’Europe le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer.
L’Amérique du Sud, continent d’origine de Jorge Bergoglio, est représentée par son compatriote, le président argentin Javier Milei, et son homologue brésilien Lula.
Du côté des têtes couronnées, le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne, le prince de Galles William représentant son père Charles III, le roi du Lesotho Letsie III, le roi Abdallah II et la reine Rania de Jordanie, ainsi que le prince Albert II de Monaco et son épouse Charlène figurent dans l’assistance.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a présenté ce jeudi 24 avril les condoléances de l’État d’Israël à l’Église catholique pour la mort du pape François survenue ce lundi, dans un message sur le réseau social X.
« L’État d’Israël exprime ses plus profondes condoléances à l’Église catholique et à la communauté catholique du monde entier pour le décès du pape François », écrit Benjamin Netanyahu. Plusieurs heures plus tard, le post sera supprimé sans justification.
Il faudra attendre quelques heures pour qu’un second hommage, très bref, soit officiellement publié, cette fois sur le compte X du Bureau du Premier ministre. Contacté par Associated Press, le ministère des Affaires étrangères a refusé de commenter cette suppression.
Un hommage quatre jours après la disparition du pape
Qu’il s’agisse du message supprimé ou celui toujours en ligne sur le compte de son Bureau au moment d’écrire ces lignes, il s’agit de la première réaction du Premier ministre israélien, depuis l’annonce du décès du pape François ce lundi.