EDITORIAL. Dan Assayah (Kibboutz Palmahim).
IsraelValley observe avec attention la presse anti-israélienne qui regorge d’articles de propagande qui peuvent-être résumés par cette question « La fin de l’économie israélienne? ».
Ils annoncent les malheurs d’Israël économique sans en avancer les preuves. Seuls quelques imbéciles sortant de Colombia University peuvent encore y croire.
Tous les articles sans exception parlent d’Israël, « Etat génocidaire ». Dans les classements mondiaux (souvent The Economist, pour faire sérieux) qu’ils publient ils « oublient » de citer Israël.
Objectif des articles anti-israéliens : faire en sorte que des investisseurs potentiels se détournent d’Israël. Et pourrir la vie des israéliens.
La plupart des articles sont très bien classés sur google (des gros budgets de pubs ont été alloués par des ONG pro-palestinienne pour mettre en avant des articles pseudo-scientifiques anti-israéliens).
Ils font tout pour ne pas expliquer la formidable résistance et la croissance sans freins de l’économie israélienne.
La désinformation dans toute sa splendeur…
EXTRAITS D’UN ARTICLE (que nous avons nettoyé de propos racistes et anti-juifs). « Plus de 46 000 entreprises ont fait faillite (VRAI), le tourisme s’est arrêté (VRAI) la cote de crédit d’Israël a été abaissée (VRAI) les obligations israéliennes sont vendues à des prix proches de ceux des « junk bonds » [« obligations pourries »] (FAUX), et les investissements étrangers, qui ont déjà chuté de 60 % au cours du premier trimestre 2023 (en raison des politiques du gouvernement israélien d’extrême droite avant le 7 octobre), n’ont aucune chance de se rétablir (FAUX).
La majorité de l’argent investi dans les fonds d’investissement israéliens a été détournée vers des investissements à l’étranger (VRAI) parce que les Israéliens ne veulent pas que leurs propres fonds de pension et d’assurance ou leurs propres économies soient liés au sort de l’État d’Israël (FAUX).
Cela a provoqué une stabilité surprenante sur le marché boursier israélien (VRAI), car les fonds investis dans des actions et des obligations étrangères ont généré des bénéfices en devises étrangères, qui ont été multipliés par la hausse du taux de change entre les devises étrangères et le shekel israélien (VRAI).
Mais Intel a ensuite fait échouer un plan d’investissement de 25 milliards de dollars en Israël, la plus grande victoire jamais remportée par le BDS (FAUX).
Il s’agit là d’indicateurs financiers. Mais la crise frappe plus profondément les moyens de production de l’économie israélienne. Le réseau électrique israélien, qui est largement passé au gaz naturel, dépend encore du charbon pour répondre à la demande.
Le plus grand fournisseur de charbon d’Israël est la Colombie, qui a annoncé qu’elle suspendrait ses livraisons de charbon à Israël tant que le génocide se poursuivrait.
Après la Colombie, les deux plus grands fournisseurs sont l’Afrique du Sud et la Russie. Sans électricité fiable et continue, Israël ne pourra plus prétendre être une économie développée (FAUX).
Les fermes de serveurs ne fonctionnent pas sans électricité 24 heures sur 24, et personne ne sait à combien de pannes de courant le secteur israélien de la haute technologie pourrait survivre. Les entreprises technologiques internationales ont déjà commencé à fermer leurs succursales en Israël (FAUX).
La réputation d’Israël en tant que « nation des startups » dépend de son secteur technologique, qui à son tour dépend d’employés hautement qualifiés. Les universitaires israéliens signalent que les recherches menées conjointement avec des universités étrangères ont fortement diminué grâce aux efforts des campements d’étudiants (VRAI).
Les journaux israéliens regorgent d’articles sur l’exode des Israéliens instruits. Le professeur Dan Ben David, un célèbre économiste, a fait valoir que l’économie israélienne repose sur 300 000 personnes (les cadres supérieurs des universités, des entreprises technologiques et des hôpitaux). Une fois qu’une partie importante de ces personnes sera partie, dit-il, « nous ne deviendrons pas même un pays du tiers monde, nous ne le serons tout simplement plus ». (FAUX)
Les données sur le nombre réel d’Israéliens qui quittent le pays sont confuses et contradictoires. En cette période de grande incertitude, où les journaux israéliens diffusent des informations erronées sur une vague mondiale d’antisémitisme, comme si les Juifs étaient plus en danger en Europe ou en Amérique du Nord qu’en Israël, de nombreux Israéliens optent encore pour l’émigration – des familles prennent des vacances prolongées et d’autres Israéliens explorent les possibilités de travail et d’études à l’étranger.
Pourtant, les estimations du nombre d’Israéliens qui ont déjà quitté le pays varient considérablement.
Les deux secteurs de l’économie israélienne qui ne signalent pas d’effondrement sont les entreprises d’armement, qui enregistrent des ventes élevées (bien que la plupart d’entre elles soient nationales et servent à armer les génocidaires), et les « sorties », les entreprises internationales fouillant les carcasses du secteur technologique israélien à la recherche de bonnes affaires (VRAI).
Même Google a manifesté son intérêt pour l’achat de la société israélienne de cybersécurité Wiz, fondée par des officiers de renseignement israéliens désireux de vendre leur société à Google pour pouvoir quitter Israël.
Les économistes israéliens s’attendent à ce que le gouvernement israélien prenne des mesures urgentes pour faire face à la crise, mettre fin à la guerre, réduire les dépenses publiques, augmenter les impôts, restaurer la confiance du public dans les institutions publiques israéliennes et rétablir les relations extérieures d’Israël, en particulier avec les pays dont il dépend pour ses échanges commerciaux – l’UE, la Turquie et la Colombie.