Elon Musk, Peter Thiel, David Sacks… La fameuse «mafia PayPal», très active dans l’univers du Venture-Capital à Tel-Aviv, a œuvré pour la victoire de Donald Trump.

Le hightech israélien très actif dans la Silicon Valley (des milliers d’entrepreneurs israéliens résident en Californie) devrait vivre une période « heureuse » après l’élection de Trump.

Les positions pro-Trump par des figures de la Silicon Valley, un milieu plutôt perçu comme prodémocrate et généralement très discret sur ses soutiens politiques, ont marqué les esprits.

Les positions pro-Trump par des figures de la Silicon Valley, un milieu plutôt perçu comme prodémocrate et généralement très discret sur ses soutiens politiques, ont marqué les esprits.

Les créateurs de PayPal comme Elon Musk, Peter Thiel ou encore David Sacks, surnommés les « Afrikaners de la tech » en raison de leurs origines sud-africaines, affichent des positions politiques républicaines radicales de longue date.

D’autres figures, comme Reid Hoffman, le cofondateur de LinkedIn, qui est un soutien quasiment indéfectible du camp démocrate, semblent jouer un rôle de contrepoids.

Cependant les liens étroits entre les milliardaires de la tech et le trumpisme se manifestent dans le cercle rapproché du nouveau président élu :« J.D. Vance, le colistier et vice-président de Donald Trump, est extrêmement jeune et a commencé sa carrière dans le capital-risque.

Il a reçu le soutien de Peter Thiel, qui est son mentor, ainsi que l’appui économique d’Andreessen Horowitz et d’Eric Schmidt, l’ancien CEO de Google. J.D. Vance a servi de trait d’union entre la tech, la Californie, Washington, et désormais Donald Trump. »

RÉCIT – Soutien public au candidat républicain, mais aussi financement de sa campagne jusqu’au choix de son colistier, JD Vance, les anciens dirigeants du spécialiste du paiement en ligne ont fait jouer avec succès leur réseau, leur fortune et leur influence pour cette élection présidentielle.

La présence d’Elon Musk au meeting de Donald Trump, le 5 octobre dernier à Butler (Pennsylvanie), n’était pas passée inaperçue. Habillé tout en noir, portant une casquette estampillée « Make America Great Again » et un tee-shirt « Occupy Mars » en référence à son projet de coloniser la planète rouge, le serial entrepreneur exultait au point de sauter à plusieurs reprises les bras en l’air aux côtés du candidat républicain.

« L’autre camp veut vous priver de votre liberté d’expression. Ils veulent vous retirer votre droit de porter des armes (…) et votre droit de vote. Donald Trump doit gagner pour préserver la démocratie aux États-Unis », clamait à la tribune le dirigeant de Tesla, SpaceX et du réseau social X. Un soutien clair et sans équivoque au 45e président des États-Unis, qui entendait bien reconquérir la Maison-Blanche.

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