Question d’un lecteur. La présence de Elon Musk aux côté de Donald Trump rassure t-elle Israël? La réponse est évidente: « Oui »!
« Elon Musk a fait de nombreuses déclarations Pro -Israël. Elon Musk s’est rendu récemment en Israël afin de parler de l’utilisation des communications Starlink à Gaza et de la lutte contre l’antisémitisme en ligne. Sa présence tombe à pic : le milliardaire a lui-même été accusé de propager la haine sur X, le réseau social dont il est propriétaire.
Il y a quelques jours, il se disait d’accord avec un utilisateur tweetant que les juifs alimentaient « la haine contre les blancs ». Sa réponse a causé des vagues d’indignation, la Maison Blanche dénonçant une « promotion abjecte de la haine antisémite ». En réaction, des annonceurs, tels que Disney et Apple, ont annoncé suspendre leurs publicités sur le réseau social.
Elon Musk s’est défendu et a continué de le faire, assurant qu’il n’était pas antisémite et qu’il était opposé à « tout ce qui fait la promotion de la haine et du conflit ». En Israël, il a visité le kibboutz de Kfar Gaza aux côtés de Benjamin Netanyahu, pour constater les dégâts commis par le Hamas. Lors d’un échange diffusé en live sur X, le Premier ministre israélien a évoqué la nécessité de détruire le groupe armé palestinien, ce à quoi le milliardaire a répondu : « Il n’y a pas de choix à faire. J’aimerais également aider. »
Le Point. « Elon Musk, l’autre vice-président de Donald Trump.
Fort des succès de SpaceX, Tesla et Starlink, l’homme qui veut coloniser Mars pourrait, aux côtés de Trump, révolutionner la bureaucratie à coups d’IA.
Il restait un petit peu de place sur son CV déjà bien fourni, alors Elon Musk s’est déclaré candidat, histoire d’ajouter une ligne. En plus de diriger l’entreprise de véhicules électriques Tesla, celles de fusées réutilisables SpaceX, de satellites Starlink, d’intelligence artificielle X.AI, d’implants cérébraux Neuralink ou encore le réseau social X, le multi-entrepreneur, né à Pretoria, en Afrique du Sud, il y a cinquante-trois ans, pourrait, avec l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, prendre la tête d’une « commission gouvernementale chargée de mener un audit complet en termes financiers et de performances de la totalité du gouvernement fédéral, en vue de faire des recommandations pour des réformes draconiennes ».