Proche-Orient : la « course contre la montre » des États-Unis pour un cessez-le-feu avant la présidentielle.
À quelques jours de l’élection américaine, Washington a envoyé deux hauts responsables américains en Israël pour tenter de négocier un accord de cessez-le-feu au Proche-Orient. Un tel « deal » représenterait un succès pour Joe Biden, qui bénéficierait aussi et surtout à Kamala Harris.
Une « course contre la montre ». Les États-Unis tentaient d’arracher un cessez-le-feu au Proche-Orient, dans un ultime effort avant l’élection présidentielle américaine du 5 novembre.
Une semaine après un nouveau voyage – le onzième depuis le début du conflit à Gaza – du secrétaire d’État américain Antony Blinken dans la région, Washington a envoyé jeudi de hauts responsables pour négocier avec Israël.
Amos Hochstein, l’émissaire de Joe Biden pour le Liban, et Brett McGurk, en charge du Moyen-Orient à la Maison Blanche, « discuteront d’une résolution diplomatique au Liban, ainsi que des moyens de mettre fin au conflit à Gaza », a précisé le porte-parole du département d’État, Matthew Miller.
LE PARISIEN.