Demain sur Radio J. Chronique de Daniel Rouach à 7h05. En direct…

Le ministère de la Défense et Tsahal s’inquiètent actuellement d’une menace émergente : la possibilité d’une pénurie de munitions après que plusieurs pays ont officieusement cessé leurs échanges commerciaux avec Israël.

Calcalist a appris que les fournisseurs d’armes des pays européens ont tout simplement cessé de répondre à leurs homologues israéliens, et qu’une puissance étrangère autre que les États-Unis, qui commerçait auparavant avec Israël, a refusé de fournir à Israël les matières premières à partir desquelles des munitions peuvent être fabriquées depuis le 7 octobre.

Selon un rapport du New York Times, Tsahal est confronté à une pénurie d’obus de 120 mm pour ses chars, de sorte que certains chars stationnés à Gaza sont désormais en état d’alerte partielle et transportent une plus petite quantité d’obus en cas d’embrasement sur la bande de Gaza. frontière nord.

Calcalist a appris de hauts responsables de Tsahal qu’il existe effectivement une « économie de l’armement ».

Le New York Times a rapporté que l’armée est également confrontée à une pénurie de pièces de rechange pour les chars, les bulldozers D9, les véhicules blindés de transport de troupes et autres munitions terrestres légères.

 

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