Selon (1) : « L’origine du « quiet quitting ». Le quiet quitting prend racine aux États-Unis. Démocratisé grâce à des vidéos TikTok, il touche majoritairement les moins de 30 ans. L’évolution des modes de travail, avec le télétravail entre autres, a grandement favorisé le développement de cette tendance.
Les maîtres-mots du « quiet quitting ».
“Travailler à hauteur de son salaire”, “privilégier sa vie personnelle”, “ne plus vivre pour son travail” sont autant de principes directeurs du quiet quitting. Encore une fois, cet état d’esprit s’est fortement développé.
Adrien Scemama, responsable de Talent.com : “Les adeptes du quiet quitting sont des salariés qui refusent que leur boulot soit au centre de leurs préoccupations. Ils décident alors de ne pas démissionner, mais de ralentir la cadence pour préserver leur santé mentale”.