La pollution plastique dans le golfe d’Eilat est moindre que celle des autres récifs coralliens dans le monde, d’après une étude de l’Université de Tel-Aviv.
Nouvelle encourageante : une étude réalisée dans le golfe d’Eilat sous la direction du Prof. Noa Shenkar de l’École de zoologie et du musée de la Nature Steinhardt de l’Université de Tel-Aviv, par Gal Vered, doctorante de l’Institut interuniversitaire d’Eilat, a révélé que la quantité de déchets dans le golfe est faible par rapport à celle des récifs coralliens similaires dans le monde, à la fois en termes de déchets plastiques visibles et de particules de microplastiques, et ce en particulier dans la réserve naturelle marine d’Eilat.
Les chercheuses en concluent qu’il n’est pas trop tard pour sauver le récif corallien du golfe d’Eilat et ceux d’autres sites dans le monde, à la condition d’agir rapidement.
L’étude, qui a été publiée dans la revue Science of the Total Environment, contribue de manière significative au développement des connaissances pour les recherches futures.
Elle a été dédiée à la mémoire de Tal Eilon, amoureux de la mer, commandant de l’équipe de sécurité communautaire de Kfar Aza, assassiné le 7 octobre par le Hamas en protégeant son foyer. Skipper et titulaire d’une licence en biologie marine, Tal a formé des générations au Collège maritime de Mikmoret. Il était âgé de 46 ans le jour de sa mort.
COPYRIGHTS. Association française de l’Université de Tel-Aviv.
Sivan Cohen-Wiesenfeld, PhD
Rédactrice en chef du site de l’Association française
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de l’Université de Tel-Aviv