70 ingénieurs de la société américaine GE (General Electric) ont quitté Israël après le début de la guerre, retardant ainsi l’avancée du projet d’énergie renouvelable Kokhav Hayarden en Galilée.

Il s’agit d’un projet d’énergie hydroélectrique par pompage-turbinage (HEP) d’une valeur de 1,7 milliard de shekels. L’État s’est engagé à financer 94 % du projet pendant les 18 premières années.

Noy Fund, qui détient une participation de 60 % dans le projet, a déclaré : « Au début, la guerre a effectivement conduit certains employés et ingénieurs de GE à quitter le pays. Certains d’entre eux sont déjà rentrés en Israël entre-temps, mais pas tous. De plus, GE travaille avec la direction du projet pour trouver des remplaçants qui arriveront sur le chantier dans un avenir proche. Selon des sources professionnelles, le retard dans le calendrier d’achèvement de la construction du projet sera de plusieurs mois.

Noga, la société gouvernementale qui gère le réseau électrique, estime que les systèmes de pompage-turbinage en construction à Kokhav Hayarden et Manara ainsi que l’unité de Ma’aleh Hagilboa déjà construite fourniront au total 800 MW au réseau. Noga s’attend à ce que l’unité de Manara soit connectée au réseau en 2026, tandis que le projet Kokhav Hayarden devait être achevé en 2023.

 

 

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