Concentrés dans un premier temps sur les secteurs de la sécurité et de la défense dans des pays africains, les investisseurs israéliens ont ensuite porté leur intérêt vers le secteur minier, surtout diamantaire, l’énergie, l’agriculture ou la santé.
Ils ont été rejoints, ces dernières années, par une nouvelle génération d’entreprises issues de la start-up nation israélienne qui, s’appuyant sur leur haut savoir technologique et numérique, propose les services les plus innovants en matière de cybersécurité, de e-santé, d’agrotech, de télécommunications ou encore d’énergies renouvelables.
Sur les 55 missions économiques, seules quatre sont situées sur le sol africain
Un « cyberpartenariat, selon la formule de l’universitaire Emmanuel Navon, qui apporte une véritable valeur ajoutée à l’Afrique ». Même si cette dernière ne le sait pas encore forcément. Lors d’un Forum Israël-Afrique qui a eu lieu il y a quelques années, plus de 150 entreprises israéliennes, étaient résentes dans les domaines de l’agronomie, de l’ingénierie ou encore de la sécurité.